/Vient d'une famille de nobles /Se familiarise encore avec l'époque /A chaque tatouage correspond une mort /Est resté bloqué sur une île mystérieuse pendant 360ans /Tiraillé par la seule mort qui lui tien a cœur /Se sert très peux de son don de guérison  

La bataille de l'assaut du palais d'Azahrion:

cette bataille était plutôt une bonne bataille, on a dû tuer des alliés mais rien de grave. Bref je vais vous raconter ce que j'ai faits-moi, la bête de la brume noire.
Je suis parti avec les autres dans les Appalaches, un paysage merveilleux en passant, je venais juste d'arriver alors je ne connaissais pas encore bien les membres de mon équipe et les adversaires, mais de ce que j'avais compris on était tous dans le même bateau à cet instant, nous nous sommes donc tous regroupé à un endroit bien précis pour installer un campement, une énorme erreur, si on est tous réunis on peut nous anéantir en une seule frappe... mais bon je venais d'arriver alors je n'ai rien dit, je suis juste aller dormir à l'écart, j'ai vraiment du mal avec le confort et la technologie, j'ai beau savoir que ça existe et c'est commun je reste un défenseur de la terre meuble et des branchages, un peu comme ces soldats qui reviennent de la guerre et qui ne peuvent plus dormir dans un lit, on s'y fait a force.
Le lendemain matin, la moitié de camps avaient disparu, c'est ce que je disais craindre plus haut.. Pour ma part je ne les ai même pas cherché, on a une mission, la mission prime sur les vies de quelques inconnus. Nous sommes monté au palais d'Azahrion et nous avons retrouvé nos alliés, ils étaient possédés par Chaos, il fallait donc tous les tuer, un problème, une solution, c'est simple comme raisonnement, de plus ils n'ont pas hésité à nous attaquer.
J'en ai tué deux à distance avec mon arc, pour le reste j'ai pris mon glaive et j'ai taillé dans le vif, je relevais parfois un mort pour qu'il m'aide à attaquer. Tout se passait bien quand tout a coup j'ai vu quelque chose que je ne croyais plus possible, un manipulateur de sable, il était trop loin pour que je le voie clairement mais il ressemblait à Sly, il semblait être insurgé. Le temps passé à regarder cet homme un serviteur de Chaos me trancha le bras, une vive douleur me parcourut l'échine, saleté de lobotomisé!  je plongeais alors ma lame dans la gorge pour lui montrer les bonnes manières et le relevais pour qu'il combatte pour moi. Pendant tout le reste de cette bataille j'ai cherché en vain cet homme, il y avait trop de gens, les trois camps réunis qui se bâtaient contre eux-même, je n'ai pas réussi a le retrouvé.
Encore maintenant je suis presque sûr que cet homme est le descendant de Sly, il lui ressemble et à le même pouvoir, il faut que je le trouve, il faut que je le protège, je dois payer ma dette en vers mon ami.

dans le bunker des insurgés il y a un fils de Dionysos, un psychologue qui fait de son mieux pour soigner les maladies mentales de certains insurgés, aujourd’hui nous allons suivre l'une de ses séances avec un jeune homme fraîchement arrivé.
Le docteur Hendrix assis dans son fauteuil de cuir faisait face à Mycroft, une jeune recrue perturbée par des siècles de massacres, des siècles? oui des centaines d'années, mais tout cela sera expliqué en temps et en heure ne vous en faites pas. Le docteur Hendrix commença à hypnotiser Mycroft pour le calmer et le rendre plus "docile" aux réponses.

-Mycroft? tu es avec nous? on va commencer la séance, raconte-moi tes origines.
L'homme en question était allongé sur une banquette, il se releva d'un seul coup, de manière mécanique et commença à parler.

-Je suis le descendant de la famille Hasting, famille de noble anglais, fils d'Henry et Élisabeth d'Hasting, dans la vie que mes parents avaient prévu e devais être un baron avec des valeurs, ne pas tuer pour rien, faire perdurer les traditions, bien m'occuper de mes gens, faire honneur à nos ancêtres et à nos terres qui ont bu le sang de nos alliés comme celui de nos ennemis, je devait en être le gardien et lui rendre hommage jour après jour.

-Ce qui était prévu? que c'est-il réellement passé alors?

-La mort, ma mère est décédée peu après ma naissance, ma famille a alors été fragilisée, un régent sans femme et avec un bébé en bas âge, si un malheur arrivait on pourrait penser qu'il voulait simplement rejoindre sa femme et que de chagrin il se serait donné la mort après avoir tué leur nourrisson. C'est exactement le plan qu'a eu mon oncle... Un soir il est entré dans ma chambre et m'a pris dans mon landau pour me jeter par la fenêtre, une chute sans nul doute mortel s'il n'y avait pas eu un ballot de paille pour amortir ma chute. Mon père est entré dans ma chambre à ce moment-là et a vu la scène, il était persuadé qu'étais mort, il s'est alors jeté sur mon oncle avec rage pour le tuer, mais le traître était armé et il poignarda mon père à plusieurs reprises, le laissant pourrir dans son propre sang. Le lendemain à la découverte du corps les gens conclurent à une attaque de bandits, pour brouiller les pistes mon cher tonton avait mis le manoir à feu et a sang. Il fut immédiatement couronné baron pour son plus grand bonheur.

-Et vous dans tout ça?

-Moi je n'est pas mort, j'ai été sauvé par une paysanne qui passait par là, elle m'a trouvé dans la neige, j'était blanc, tirant vers le bleu, l'hypothermie me guettait mais cette femme
me pris et enveloppa d'un linge pour me coller contre sa chaude poitrine, encore maintenant e peut compter sur les doigts d'une seule main les gens qui ne m'ont jamais trahi, et ma mère adoptive fait partie de ces personnes.

-Continuez, nous vous arrêtez pas, laissez couler vos souvenirs.

-Vous connaissez la fatalité? si un jour je la croise je vos jures de lui cracher à la figure. J'étais né dans le luxe et à ce moment-là j'étais un simple payant, mais ma descente aux enfers allait pas s’arrêter là. Un jour un vagabond arriva, il cherchait le gite et le couvert en échange de quelques histoires, tard dans la soirée elle lui raconta qu'elle m’avait trouvé dans la neige à peine vivantes mains qu'avait survécus grâce à ma rage de vivre, il lui conta l'histoire d'un lieu ou les enfants allaient et grandissaient, ils étaient éduqués, soignés et avaient un travail qui rapportait bien à l'âge adulte. La paysanne était vraiment enjouée de ce récit, alors quand l'homme lui dit que ce lieu existait et qu'il était prêt à payer pour qu'y aille, elle accepta immédiatement.
Dans ce camp on n'apprenait pas à travailler la terre, on apprenait à tuer, le camp de la brume noire était un campé d'entrainement pour assassin d'élite. dès l'âge de 3 ans on pouvait y entrer, forcément l'entrainement n'était pas du combat pur à cet âge, mais un endurcissement mental, levé a l'aurore, privation sensorielle, privation de nourriture et toilette a l'eau glaciale, en hiver ils devaient même briser la glace avec un piolet en pierre pour se laver et boire. Quand l'enfant était prêt au combat on l'envoyait dans une autre partie du camp où les sévices corporels commençaient.
Mycroft se leva et montra son dos à Hendrix Une nuit ils m'ont tellement fouettée que j'en ai perdu des lambeaux de peau, j'ai passé les semaines suivantes à tituber dû à mon anémie et à désinfecter mes plais avec un mélange de glaise et de plante ceux qui survivaient à ça allaient encore dans une autre partie du camp où on apprenait à se battre, à tuer sans pitiez, c'est là que j'ai rencontré Sylvester... Sylvester! NON! JE VEUX PAS! JE VOULAIS PAS! SLYYYYYY!
Les plantes dans le bureau du psychologue se mirent à faner, Mycroft était en panique et se balançait dans avant en arrière.

-Désolé, je suit désolé, pardonne-moi mon ami, désoler, je suis désolé, pardonne, j'ai... j'ai essayé de te faire revenir mais je suis trop faibles...

-Mycroft calmez vous, ce ne sont que vos souvenirs, vous ne revivez pas réellement ces moments

-J'ai eut un ami dans ce camp, un compagnon qui m'a été imposé à l'âge de sept ans, nous avons chassé l'humain ensemble, nous avons appris à nous battre et avons tué ensemble, nous nous sommes soignés mutuellement quand notre chasse avait mal tourné, c'est à cet âge que nous avons découvert nos pouvoirs, tout est devenu plus facile, nous avons ramassé des dizaines de cœurs humains, les gens sont devenus faibles, nous nous sommes continués de devenir fort, nous mangions des vers de terre pour ne pas mourir, buvions de sang de nos ennemis pour nous repaître de cette soif insaisissable, nous étions les rois des examens de ce camp, des enfants brisés et remontés pièces par des instructeurs vicieux et tortionnaires, de parfaits tueurs sans aucun remords.
Je... Je ... J'ai tué mon ami... pour la dernière épreuve je lui ai planté mon épée dans l'estomac, je l'ai embroché de ma lame, le combat était bien spectaculaire, les deux meilleurs élèves s'entre-tuant pour réussir leur examen, et surtout pour que les deux ne vivent pas, on ne pouvait pas faire semblant, les chefs connaissaient notre vrai potentiel et ils auraient vu si on se retenait, nous nous sommes donc battu comme des gladiateurs, l'un en face de l'autre, donnant coup pour coup, il n'a suffi que d'une fraction de seconde pour qu'e le transperce, S'il avait été plus rapide de peu il m'aurait tué à ce moment-là, voilà ce qui nous a départagés, une fraction de seconde... j'ai honte Docteur, j'ait tué mon seul ami.
Par la suite on m'a donné des contrats, tuer n'avait plus de saveur, c’était fade, le fantôme de Sylvester me hantait, parfois e faisait des rituels pour le ramener à la vie mais il ne s'est jamais rien passé, comment mon oncle a pu tuer mon père sans rien dire? comment peut-il se pavaner dans ses terres sans remords? c'est la réflexion qu'e me suis faite à ce moment-là. a seize ans je suis donc parti retrouver ce chien et e n’est pas été déçu.
Son manoir n'était presque pas gardé, deux flèches pour les gardes à l'entrée, j'en ai relevé un et je lui ai dit d'aller dans la cabane des gardes pour tuer tout ce qui passait, le temps que cette diversion e est montée dans les étages et 'ai trouvé la chambre, e est entré n'a pas feutrait et j'ai bâillonné en vitesse ma tante et mon oncle avant de les paralyser avec un poison, je leurs ais fait avaler pour plusieurs inefficacités; je les ai été de la fenêtre (souvenir) ou j'avais préalablement posé une charrette avec du foin pour amortir à chute et je suis parti avec mon chargement jusque dans une cabane qu'avaient nettoyé de ses occupants quelques heures plus tôt. j'ai alors commencé par ma tante, e l'est allongé sur le sol et je me suis tourné vers mon oncle "c'est de ta faute ce qu'e va faire". J'ai commencé par couper des phalanges, à casser le cartilage qui craquait sous la lame de mon couteau, heureusement "avaient pris une tenaille et une petite scie à main pour parfaire le travail, après les phalanges e me suis attaqué aux orteils, puis j'ai repris aux avant-bras, faisant des tranches de chair et d'os, tout ça devant les yeux de son mari, et je me suis délecté de ses larmes, j'ai vu la peur et la rage dans ses yeux, mais aucun remords dû au meurtre d'un membre de sa famille.
Quand j'en ai fini avec sa femme il ne restait plus qu'un tronc exsangue, j'ai alors pris mon oncle et l'ai jeté à côté des restes de sa femme, je me suis accroupi et je lui ai coupé l'oreille, ensuite le nez, les lèvres et j'ai commencé à découper sa peau je l'ai dépecé vivant il perdit pendant un laps de temps, lorsqu'il revint à lui j'avais aspergé sa femme d'huile, je lui ai dis que c’était un juste rendu des choses, qu'il allait voir la personne qu'il aime le plus mourir à cause de lui; que c'est lui qui l'a tué, qu'il allait mourir avant cela voir son empire s'effondrer. J'ai tout simplement allumé une torche et jeté sur ma tante, je l'ai vu se décomposer et fondre sous les yeux de son mari, un spectacle plutôt agréable.
À vingt-cinq ans j'étais l'un des meilleurs, peu importe les contrats je les réussissais,'avais commencé à me faire des tatouages sous forme de barre, un mort, une barre, mais mon dos commençait à être trop petit, alors à chaque meurtre je me suis faits tatoués par-dessus. tout était en place, je recevais même des offres de mon camp, a aller chercher des assassins en fuite. Je suis alors cherché cet assassin, il était très bon, peut être meilleur que moi et il m'a piégé, IL M'A PIÉGÉ! sur une île hors du temps, une île sous-développée qui fonctionne à l'énergie mais les gens sont tellement débiles qu'ils ne s'en servent même pas pour se créer un empire!
j'ai immédiatement cherché à fuir, mais impossible, mon radeau partait bien mais revenait au bout de quinze minutes, pour passer mes nerfs je prenais des contrats ou je tuais tout simplement, cette communauté sur l’île était très restreinte, j'ai bien sûr passé les épreuves haut la main vue mon entrainement mais réussir les épreuves ne veulent pas dire accepté, il faut gagner leur confiance, et ça je crois qu'e n’est jamais réussi...
Heureusement un jour mon radeau est arrivé sur le continent,'était si heureux, j'ai sauté sur la terre fermée avec seulement un vieux short en toile et une dague émoussé.
Là ça a été le choc... ce n'était plus du tout mon époque, tout ce qu'avait connu était passé de plusieurs siècles, leur langage était différent, c’était la langue mais pas les mêmes mots,'est donc dû m'adapter à mon environnement, ne pas dormir plus de deux heures d'affiler pour éviter de se faire tuer par des monstres, manger à un endroit ou il y avait plein de gens sales et où on servait de la soupe.
Tout ça jusqu’au moment où Stuart un esprit lunaire est venue me chercher pour me ramener ici.

-Mycroft, réveillez-vous... Il claque des doigts et le jeune homme se réveilla -Je crois qu'on va avoir du travail avec vous...