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WANTED POSTER

■ Wanted PJiens, PJiennes, la traque est lancée autant chez les pro-olympiens, que les insurgés. C'est la guerre, il n'y a plus de limite en terme d'horreurs. Voici les récompenses capture.
□ Pour les divinités supérieurs | 300 PE de base - 500 PE pour la fuite ou la capture définitive. (concerne Ouranos, Zeus, Poséidon et Hadès)
□ Pour les divinités | 300 PE de base - 450 PE pour la fuite ou la capture définitive. (concerne olympiens, astraïens, dieux mineurs, astraïens)
□ Pour les chefs de camp | 300 PE de base - 300 PE pour la fuite ou la capture définitive.
□ chefs de brigade | 250 PE de base - 250 PE pour la fuite ou la capture définitive.
□ Les êtres surnaturels | 250 PE de base - 250 PE pour la fuite ou la capture définitive.
□ Les soldats insurgés, grecs et romains | 200 PE de base - 200 PE pour la fuite ou la capture définitive.
● Nota Bene ●
○ Les parques ont mis fin à l'ascension de Chaos en le renvoyant dans le néant ○ Zeus est de retour sur l'Olympe ○ Ouranos fait appel aux "anciens déchus" d'autres astraiens pour mener la guerre contre les olympiens ○ La "Grande Guerre" est lancée ○
○ Relancement du Wanted; Zeus et Ouranos lance la traque de leurs ennemis ○ Les grecs et les romains sont en désaccord pour la guerre des territoires ○ Les deux camps (grec et romain) sont également en compétition, pour la récompense honorifique ○
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Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même."

Almerigo A. Abatucci
Nombre de messages : 241
Localisation : ♦ Au Camp...
Points d'expériences : 1374

Ma petite quête sur moi
Dieu/Déesse: ♦ Bacchus.
Niveau: 9
Les pouvoirs: ♦ Alcokinésie & Dandrokinésie.





Almerigo A. Abatucci
Le Dernier Humaniste ❧ Centurion de la 1ère Cohorte.
Sam 12 Déc 2015 - 13:13
✓ Almerigo Angelo Abatucci


son caratère

A l’heure actuelle, je crois que le mot qui définit généralement les gens comme moi, c’est : connard. Oui voilà. C’est que je suis. Un véritable connard. Du moins, c’est ce que les gens disent. Personnellement, j’ai juste l’impression d’être moi-même et si être naturel et direct avec les autres, c’est être un connard alors je le confirme une nouvelle fois : j’en suis un. Peut-être est-ce également dû à mon air sûrement un peu hautain mais néanmoins pas trop méprisant… Il faut dire que je suis aussi du genre provocateur, pas le genre à refuser un défi par exemple, et parfois, ma façon de sourire et de regarder les gens ne m’aide pas à me défaire de cette image, il faut l’avouer. Et de toute évidence, je n’ai de toute façon pas envie que l’on me voit autrement. A quoi bon ? Je ne suis pas un garçon sage ou un enfant de cœur. Inutile de vouloir le dissimuler d’autant plus que je l’assume parfaitement et que je n’ai aucun complexe avec ce fait. Il y a aussi ma fierté et mon honneur qui sont censés être des concepts importants à mes yeux mais plus le temps passe, moins j’y accorde de l’intérêt. J’ai vécu, j’ai vu des choses que les autres ne peuvent pas comprendre… Et ça, ça m’a fait remettre en doute certains préceptes. Comme ceux-là. Oui j’y tiens un petit peu mais ils ne sont pas non plus vitaux pour moi et je doute fortement que ça remonte. Du reste, je le redis encore mais peu m’importe si je passe pour un enfoiré aux yeux du monde entier. Au moins, je me dirai que les gens me détestent pour ce que je suis réellement et pas qu’ils m’aiment pour ce que je n’ai jamais été. Aucun regret, donc.

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en bref


⊱ AGE : 21 ans en apparence seulement. En réalité, j’ai aisément 530 ans. ⊱ DATE & LIEU DE NAISSANCE : Un treizième jour du mois de juillet, à Florence, en 1485. ⊱ ORIGINE & NATIONALITÉ : Italien (même si un peu plus Florentin dans mon esprit comme l'unité italienne n'existait pas encore à mon époque), depuis ma naissance et sans doute pour toujours. ⊱ STATUT SOCIAL : Célibataire. ⊱ ORIENTATION SEXUELLE : Pansexuel, quand on a vécu ce que j’ai dû affronter, on ne fait plus attention au sexe de la personne, on apprend plutôt à lire son âme. ⊱ GROUPE : » Camp Jupiter.

⊱ Arbre de talents : Herboriste. ⊱ PARENT DIVIN : Bacchus. ⊱ POUVOIRS : Alcokinésie & Dandrokinésie. ⊱ ARMES/OBJETS MAGIQUES : Un pugio en or impérial qui peut se rétracter en décapsuleur ayant la forme d’une grappe de raisin, une rapière sicilienne que j’ai gardé de mon époque & une boussole qui pointe toujours un lieu où il y a une bouteille d’alcool. ⊱ ANNÉES PASSÉES DANS VOTRE CAMP : A mon époque, j’y ai passé 9 ans… Aujourd’hui, je suis chez les romains depuis 9 mois.

fiche (c) oceanlounge.







son histoire

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]♠️ Préface. ♠️
Il y a énormément de pans de l’histoire qui ne sont plus nécessairement racontés comme ils ont réellement été. Une raison très simple à cela : l’homme est mortel. Inévitablement, il finit un jour par disparaître et ainsi, les témoins de certaines époques restent introuvables, il n’y en a plus. La plupart se trouvant six pieds sous terre. Ce n’est pas mon cas. La vie a fait que j’ai survécu jusqu’à aujourd’hui, que je suis un témoin d’une époque lointaine et dépassée depuis des siècles. Mais quelle est cette fameuse période historique qui m’a vu naître ? Celle de la Renaissance, ni plus, ni moins. Vous devez très certainement connaître même sans être particulièrement accro à l’Histoire. Cette période, c’est celle des grandes découvertes ; qu’elles soient territoriales, culturelles, etc… C’est l’Humanisme. Ce moment où les grands intellectuels décident que notre corps a une importance, qu’il faut en prendre soin et surtout, ils montrent que l’Homme est quelqu’un qui est capable. Capable de ne pas se reposer uniquement sur la religion. Capable de prendre ses propres décisions et donc, par extension, d’en assumer les conséquences… Où l’Homme est capable de penser. Tout simplement. C’est dans cette atmosphère de grands changements que j’ai vécu une partie de ma vie. D’ailleurs, c’est elle que je vais vous raconter. Ça pourra avoir des allures de cours d’Histoire mais concrètement, si ça s’en rapproche, ça n’en sera pas vraiment un. Surtout que mon histoire recèle quelques aspects cachés qu’il ne vaut mieux pas que le grand public connaisse. Pour leur sécurité autant que pour la nôtre.

♠️ Peindre sa naissance. ♠️
Commençons par le commencement. Je suis né en Italie, à Florence précisément, en 1485. Je ne connaissais pas encore l’identité de mon père, à cette époque alors que, de ce qu’on m’a raconté, ma mère était une bourgeoise de la ville, sans grande influence. Cela dit, en faisant des recherches, j’ai découvert des choses intéressantes sur ma famille mortelle de sang. Les ancêtres de ma génitrice n’ont pas toujours vécu dans la République de Florence. Il fut un temps bien lointain où ils vivaient à Rome, à sa grande période. J’ai même découvert que j’avais une grande personne parmi mes ancêtres. En effet, il se trouve que je suis le descendant du grand Empereur qu’a été Marc-Aurèle. Dommage que la femme qui m’a mis au monde n’ait pas pu hériter de son altruisme. Ça lui aurait peut-être évité de s’abaisser à m’abandonner. Parce que dans les faits, elle ne s’est pas gênée pour le faire. Elle m’a laissé devant la porte d’une grande famille, enroulé dans un seul linge blanc ; rapidement devenu marron à force de traîner dans la boue, et une petite tablette où un prénom et un nom étaient gravés. Almerigo Abatucci. Mais je dois admettre que j’ai sûrement gagné au change. Cette femme m’a déposé sur le perron de la famille Médicis. La plus grande, celle qui régnait en maître sur la République de Florence. Il faut dire que ça fait son petit effet quand on dit qu’on a été adopté par Laurent de Médicis, tout aussi connu sous le nom de Laurent le Magnifique… Il a été comme un père, pour moi. Il m’a sauvé d’une vie de misère et il m’a appris beaucoup de choses. Je ne pense pas que j’aurais survécu sans son geste. Quand j’ai eu cinq ans, il m’a présenté un de ses élèves qu’il avait pris sous son aile et qu’il trouvait particulièrement doué. Un dénommé Michel-Ange. Il le trouvait tellement talentueux qu’il m’a donné un bout de son prénom en guise de seconde appellation : Angelo. C’est de là que ça vient. Mais d’un autre côté, Laurent n’avait pas tort… Cet homme, de dix années mon aîné, ne semblait pas être n’importe qui. Je ne m’en suis pas immédiatement rendu compte… Je devais être trop jeune à ce moment-là. Et puis, deux ans plus tard, en 1492, alors que je n’avais que sept ans, j’ai dû faire face à la mort, à celle de Laurent, l’homme qui a été mon mentor et mon sauveur. Je n’avais plus personne à qui me rattacher. Plus rien de concret. Le seul qui m’avait tendu la main était mort prématurément. Du moins, c’est ce que je croyais… J’ai eu la chance, voire même l’honneur d’être recueilli par l’un des plus grands artistes de ce temps. Je ne l’avais vu qu’une seule fois mais Michel-Ange a accepté de s’occuper de moi, à condition que je n’aille pas le crier sur tous les toits. Et j’ai accepté. Parce qu’il était la seule autre personne en qui ma confiance était totale.

♠️ Sculpter son existence. ♠️
Je suis allé partout avec lui. Même quand il a quitté Florence, qu’il s’est baladé ailleurs, je l’ai suivi. Mais le plus impressionnant, c’est sans conteste le jour où nous avons dû nous rendre à Rome, en 1496, pour qu’il réalise une commande d’un cardinal. Cette année-là, il a conçu deux œuvres majeures de sa carrière. Mais en ce qui me concerne, il n’y en a qu’une qui m’intéresse réellement. Il s’agit de celle qu’il a finalisé l’année d’après, en 1497… J’avais douze ans. Il m’a appelé, en me disant qu’il voulait mon avis sur une sculpture qu’il venait de terminer. Je ne me suis pas fait prier pour aller le rejoindre. C’est à cet instant que ma vie bascula, ainsi que toutes mes certitudes… Lorsque je suis entré dans la pièce, j’ai tout de suite eu une étrange impression. Et elle n’a fait que se confirmer lorsque j’ai vu la fameuse sculpture. J’étais littéralement attiré par elle. Comme si elle m’appelait, comme si nous étions liés par un lien que nul ne pourrait soupçonner. Ce sentiment devint quasiment étouffant lorsque Michel-Ange me donna le nom de son œuvre. Bacchus. J’ai cru qu’elle riait, à la suite de cette évocation. Alors soit c’est moi, soit cette statue n’est pas tout à fait normale. Bizarrement, la deuxième option est celle qui a le plus retenu mon attention. « Désolé, je sors, je ne me sens pas très bien. Je reviens… Plus tard… » C’est la dernière fois que je l’ai vu, en tout honnêteté. J’aurais seulement aimé pouvoir lui dire au revoir… Sauf que voilà. Je suis sorti à l’extérieur du bâtiment et je me suis retrouvé nez à museau contre une louve complètement différente de toutes les autres. Déjà par sa taille et ensuite parce qu’elle… Me parlait, tout bêtement. « Je suis Lupa et je suis venu t’apporter un message. Ton destin va se jouer maintenant, fils de Rome. Il est temps pour toi de réaliser ce que tu es et de t’en trouver digne. Deux épreuves. Réalise-les et tu seras récompensé par un foyer où vivent des personnes comme toi. Échoue et ta seule réponse sera la mort… » Je n’ai pas eu le temps de répondre quoi que ce soit que la Louve était déjà partie et moi, je ne me retrouvais déjà plus dans le Rome que je connaissais. J’étais complètement ailleurs. Vivre ou mourir. Les paroles de Lupa résonnaient encore dans mon esprit. J’en ai conscience, je n’ai pas le droit à l’erreur. Pas maintenant. Pas si près de ce que j’ai toujours recherché.

J’ai finalement réussi ses fameuses épreuves et j’ai trouvé le Camp Jupiter. Quand je me suis réveillé, c’est une jeune fille qui se trouvait à mon chevet. Lorsqu’elle a remarqué que je commençais à me réveiller, elle s’est immédiatement approchée de moi pour me parler. « Enfin tu es réveillé ! Tu es au camp des enfants de Rome et si tu es parvenu jusqu’ici, c’est que tu as réussi les épreuves données par Lupa. Bienvenue parmi nous ! » J’émerge doucement alors que seulement quelques-uns de ses mots parviennent à se frayer un chemin dans mon esprit. C’est vrai… Les épreuves, alors j’en suis digne finalement ? Sans aucun doute, autrement, je ne serais pas là. Je tente de me lever alors que ma tête me lance soudainement, me forçant à me rallonger. « Doucement, tu es encore trop faible pour pouvoir te lever. Reprends des forces pour être complètement rétabli parce qu’après ça, ta vie va encore changer. », dit-elle avec douceur… Elle doit avoir quoi… Deux ans de plus que moi ? Ce qui lui fait quatorze ans ? Pourtant, elle a déjà des airs d’adulte. Est-ce que la Louve change tout le monde à ce point-là ? Est-ce toujours aussi radical ? Inutile de lui poser la question, je m’en rendrai bien compte par moi-même. « Depuis combien de temps suis-je inconscient ? » La question paraît soudaine. Et j’attends quelques secondes avant qu’elle ne me réponde. C’est un peu comme si elle hésitait à me dire à la vérité. Comme s’il était mieux pour moi que je ne sache pas. Finalement, elle sourit une nouvelle fois avant de m’apporter la réponse. « Deux jours. Ça fait deux jours que tu dors comme un loir. Maintenant que tu es revenu à toi, il faut attendre que ton parent divin se décide à te reconnaître. Ne t’en fais pas, c’est le lot de chaque personne vivant ici. On est tous passé par là. » Alors tout est définitivement vrai et réel. Je n’ai rien imaginé. Je suis réellement le fils d’un Dieu… Une perspective assez incroyable mais qui semble se confirmer au fur et à mesure que le temps passe. Je n’ai donc plus qu’à attendre de voir qui a permis ma naissance. Un dieu assez important ou un dieu mineur ? Je préfère ne pas me triturer l’esprit avec ces questions. Je verrai bien le moment venu, de toute évidence. Néanmoins, il y a un autre problème qui me taraude, actuellement. « Dis-moi… Est-ce que je pourrai retourner là-bas ? Dans le monde où vivent les personnes normales, je veux dire… » Elle se met alors à me regarder avec un air triste et un sourire désolé. Rien que ces petites expressions annoncent déjà la couleur sombre de sa réponse. « J’ai bien peur que cette idée ne doivent sortir de ta tête. Ici, tu es en sécurité… Mais à l’extérieur, ce n’est pas le cas. Maintenant que tu as conscience de ce que tu es, « eux » le savent également et ils ne te rateront pas… Les monstres… Malheureusement, ça aussi, c’est notre lot quotidien. » Je soupire, prenant alors conscience que je viens de laisser seule l’unique personne qui me portait encore un minimum d’intérêt. Mais c’est peut-être mieux ainsi. En y réfléchissant, je lui évite beaucoup d’ennuis. Et visiblement, je ne suis pas le seul à souffrir du fait de devoir me tenir éloigné de certaines personnes. Tant pis. Je n’ai pas le choix, apparemment. « Très bien… Sinon, moi c’est Almerigo Abatucci… Fils d’un dieu qui ne se semble pas encore s’être manifesté… » Elle étouffe volontairement un rire à la suite de ma tirade. Elle commence à se lever et à se diriger vers la sortie de la tente, non sans me répondre au préalable. « Et moi, on m’appelle Eléonora Alighieri, fille de Vénus. » Elle passe un premier pied à l’extérieur et juste avant qu’elle ne s’éloigne davantage, je lui lance quelques phrases. « Alors je t’appellerai simplement Nora. C’est plus court et d’un point de vue tout à fait personnel, je trouve que ça te met encore plus en valeur ! » J’ai juste le temps de la voir sourire et acquiescer avant qu’elle ne disparaisse. Cette rencontre marque, pour moi, le début d’un re-nouveau, l’apparition d’un nouveau cycle de ma vie. Je n’oublierai jamais les personnes qui ont compté pour moi avant elle, jamais. Parce que je suis bien conscient de tout ce que je leur dois mais je crois qu’il est temps pour moi de tourner la page et de passer à autre chose. En commençant par accepter ma différence.

Le lendemain, en me réveillant, j’ai découvert un objet étrange à côté de moi. Il ressemblait à une des choses dont on se sert habituellement pour ouvrir les bouteilles d’alcool. Sauf que celui-là, on lui avait donné une forme particulière. Une grappe de raisin. Tout s’est alors mis en place dans ma tête. La sculpture de Michel-Ange, l’effet qu’elle m’a fait, l’apparition de Lupa à cet instant précis. Ça ne pouvait pas être un hasard. Maintenant que je possédais toutes les clés en main pour comprendre, ça ne pouvait pas être le simple fruit du hasard. La vérité m’est apparue à ce moment-là : je suis le fils d’un divin alcoolique. Dans les faits, ça ne me dérangeait pas plus que ça. Mais dès que j’ai compris qui était mon père, je me suis débrouillé pour avertir Nora. On a un peu discuté de ça… Et puis, les jours suivants, tout s’est enchaîné très rapidement. J’ai commencé à m’entraîner et mes pouvoirs se sont développés petit à petit. La plupart de mon temps, je me trouvais avec elle. On était devenu comme deux inséparables… Et rapidement, il y a eu bien plus qu’un simple sentiment d’amitié entre nous. Rapidement, je me suis rendu compte que c’était un peu plus compliqué que ça. Un jour, je me suis finalement décidé à sauter le pas. Ça faisait déjà quelques années que nous nous connaissions. J’étais à mes quinze ans alors qu’elle en avait dix-sept. J’ai patiemment attendu qu’elle termine son entraînement et je me suis approché d’elle, la mine légèrement gênée. « J’ai quelque chose à te dire… J’aurais dû le faire il y a déjà un moment mais… Je ne sais pas, ça ne voulait pas, je n’ai pas osé. » Elle m’a regardé, intriguée par ce que je venais de dire. Et c’est là que j’ai compris que je ne pouvais plus faire marche-arrière. Je n’ai plus qu’à me lancer, quitte à me prendre une gifle en retour au moins, je n’aurai aucun regret à ce niveau-là. Je prends une grande inspiration alors que je rassemble mon courage pour lui dire directement. « Je t’aime, Nora… Pour de vrai. Je t’aime. » Il y a eu un énorme vide. Je pensais qu’elle allait me dire que pour elle, il n’y avait rien de plus entre nous. Sincèrement, j’ai pensé ça… Jusqu’à ce qu’elle vienne me saisir le coup pour m’embrasser… Me montrant par là que ses sentiments étaient partagés. Depuis ce jour, notre couple était officiel. Ça a marqué le début d’une période joyeuse et inoubliable. Le comble de cette dernière fut en 1503… Lorsque nous avons tous les deux eu un enfant. Une fille, précisément : Alessandra Arabella Abatucci. Nous étions encore jeunes, j’avais dix-huit ans et elle, vingt mais on s’en moquait. Nous avions voulu cette vie et nous plaindre n’était certainement pas dans notre attention. A vrai dire, nous aurions pu continuer dans cette voix-là et vivre heureux à trois… Si je n’avais pas fait cette bêtise. Si je n’avais pas laissé certaines de mes envies prendre le dessus… On aurait pu éviter cette stupide erreur. Tout a une nouvelle fois basculé en 1504. J’avais besoin de prendre l’air. Ça faisait beaucoup trop longtemps que je n’avais pas quitté ce camp. Le monde extérieur me manquait beaucoup trop. Il fallait que je le revoie. Pour moi, c’était quasiment vital. Alors je suis sorti. Seul.

Au début, il n’y avait pas de problème. Aucun monstre en vue, tout se passait très bien. Mais on m’avait prévenu que ça ne continuerait pas comme ça bien longtemps… Je me baladais dans une campagne et c’est là qu’il a surgi. Ce monstre. Amphisbène. Un immense serpent à deux têtes, l’une à l’emplacement normal et une autre au bout de sa queue. J’étais sorti avec l’arme offerte par mon père et avec ma rapière sicilienne favorite et naturellement, il y avait mes pouvoirs. Pourtant, contre une telle créature, j’avais la désagréable sensation que c’était inutile. Que je ne je ne pouvais rien face à lui. J’étais comme terrifié, incapable de bouger le moindre muscle alors que la bête fonçait dans ma direction. J’ai cru voir ma fin arriver… Et pourtant, ça ne s’est pas passé comme ça. Au moment où elle aurait dû me frapper moi, j’ai vu du sang couler. Mais pas le mien. C’était celui de quelqu’un d’autre. Quelqu’un qui n’aurait jamais dû être présent pour faire ça… « Nora… Pourquoi as-tu fait ça ? Pourquoi… ? » Les crocs du serpent étaient plantés dans son épaule gauche. Elle souffrait alors que le poison se déversait en elle mais son visage, lui, restait serein alors qu’elle tentait tant bien que mal de tourner la tête dans ma direction. Un sourire, que je savais factice, aux lèvres. Elle essayait de me rassurer, de me dire que tout irait bien pour elle… Je ne suis pas dupe, malheureusement. Ce geste venait de signer la fin de quelque chose de précieux. Sa fin. A elle. A nous deux. A notre histoire. A cause de moi et de mon envie égoïste. Je ne pouvais pas le supporter, l’accepter. « Je t’aime, Al. Dès le premier jour, je t’ai aimé et même dans la mort, je t’aimerai… Va, fuis, prends soin de notre fille, ne la laisse pas grandir seule. » Mes yeux commencèrent à pleurer pendant que mes jambes se mirent à me porter pour m’emmener loin d’ici, en sécurité, vers le camp. « Je t’aime. » Ce sont les derniers mots que je lui ai envoyé. Le dernier échange que nous avons eu avant qu’elle ne rejoigne les Enfers. Définitivement.

Autant dire qu’en rentrant au camp, je me suis fait tout petit. Je suis directement rentré dans ce qui me servait de maison avant de jeter à terre toutes les armes et autres armures que j’avais sur moi. Elle était morte par ma faute. A cause de moi, notre fille va grandir sans amour maternel. Je respire un coup avant de sortir à l’extérieur. Nora mérite au moins une sépulture digne de ce nom. A proximité de mon habitation, j’ai façonné un petit monument en bois grâce à mon pouvoir de Dandrokinésie. J’ai également gravé son nom pour que personne ne puisse l’oublier et j’ai prié. J’ai prié pour son âme,  pour son salut… Même si je savais que le monde vers lequel elle se dirigeait n’était pas particulièrement beau. J’ai prié pour me rassurer, me dire que ce qui est arrivé n’est pas totalement de ma faute. Alors qu’en fait si, je ne peux m’en prendre qu’à moi-même. « Personne n’a dit que le vie était un long fleuve tranquille. Hum… Un long fleuve d’un bon vin serait idéal. » Je me retourne soudainement en dévisageant cet inconnu qui me fait désormais face. Il vient littéralement de gâcher cet important moment d’intimité et sans avoir la politesse de se présenter. « Qui êtes-vous ? Je peux savoir ce que vous venez faire ici ? » Il me fixe un instant avant de secouer la tête, en signe de dépit. Mes questions semblent l’avoir agacé. Mais le pire, ce fut indéniablement sa réponse. « Eh bien… Faites des enfants, qu’ils disaient. Ça en vaut bien la peine. Surtout quand ils ne vous reconnaissent même pas. » Et là, c’est le déclic. Inutile qu’il en dise davantage. Je sais qui il est et ça me fout encore plus en rogne d’en avoir pris conscience. Pour la simple et bonne raison qu’il n’apparaît que maintenant alors qu’il aurait potentiellement pu éviter à Nora de perdre la vie. « Bacchus. » Je le vois arquer un sourcil, visiblement mécontent de la simple évocation de son identité. Evidemment, il s’attendait certainement à avoir un peu d’attention de ma part. « Drôle de façon de m’accueillir, Almerigo. Je m’attendais plutôt à quelque chose comme « bonjour papa, je suis ravi de faire ta connaissance », ce n’est pas un privilège réservé à tout le monde que de rencontrer son parent divin, tu sais. » Je le sais. Sauf qu’à cet instant précis, je m’en moque éperdument. Là, j’aurais juste voulu rester seul pour pouvoir entamer mon deuil en étant autant en paix que possible. Ce qui est plus que compromis avec son apparition. D’un autre côté, j’attends cette rencontre depuis plusieurs années maintenant. Je vais enfin pouvoir lui dire ce que je ressens vis-à-vis de lui. Mon ressentiment qui s’est encore renforcé avec la perte de celle que j’aime. « Ma mère m’a abandonné à cause de vous. J’ai été privé d’une adolescence à cause de vous. Et vous auriez sans doute pu sauver Nora avec les pouvoirs qui sont les vôtres… Et vous pensiez vraiment que j’allais vous sauter dans les bras ? Sincèrement ? Aucun d’entre nous n’a jamais demandé à naître et encore moins en tant que demi-dieux. Le seul geste que vous avez eu pour moi, c’est m’offrir une arme étrange. Rien d’autre. Cette vie, je n’ai jamais demandé à l’avoir. Alors ne me demandez plus jamais de vous remercier, père. » C’est malsain mais à cet instant, je me délecte allègrement de l’expression de stupeur et d’incompréhension qui apparaît furtivement sur le visage de Bacchus. Nul doute qu’il ne s’attendait pas à ce que je lui réponde de cette façon. Dommage que son expression faciale n’ait duré que quelques secondes avant d’être remplacée par un rictus d’énervement. Si j’avais été un vulgaire inconnu à ses yeux, il m’aurait très certainement châtié sur le champ mais cette fois, c’est différent. Il se trouve que je suis la chaire de sa chaire et il le sait très bien. « Me parler sur ce ton n’est pas une bonne idée, mon garçon. Je laisse passer pour cette fois mais sache que je te garde à l’œil. Je reste ton père malgré tout, que ça te plaise ou non. Nous nous retrouverons un jour, sois en certain. » Puis, il disparaît comme il est venu. Qu’il revienne quand il veut. J’assume parfaitement ce que je lui ai dit et s’il attend des excuses, elles ne sont pas prêtes d’arriver. Que ce soit maintenant ou dans mille ans. Je ne reviendrai pas sur les mots que j’ai prononcés. Têtu jusqu’au bout.

Deux ans plus tard, en 1506, on peut dire que j’ai plus ou moins récolté les fruits de ce que j’avais semé. J’étais encore jeune. A vingt-et-un ans, il nous arrive encore, parfois, de nous dire que peu de choses peuvent nous atteindre. Surtout quand on a déjà vécu certains moments qui nous ont profondément marqué auparavant. J’ignore si c’était une décision mûrement réfléchie ou un simple coup de tête… Toujours est-il que je l’ai fait. J’ai quitté le camp, sans avertir qui que ce soit. Je voulais simplement qu’on me fiche la paix. Je voulais reprendre ma vie en main, une nouvelle fois. Alors j’ai embarqué avec ces explorateurs, dans un navire partant en direction du nouveau continent qui a été découvert quelques années plus tôt, par un certain Christophe Colomb. Avant de partir, j’ai néanmoins laissé une lettre à ma fille, âgée de seulement de seulement trois ans. Avant de partir, j’ai néanmoins laissé une lettre à ma fille, âgée de seulement de seulement trois ans. Je pars. J’en ai besoin, je ne me sens plus à l’aise parmi les autres. Je ne sais pas si je reviendrai un jour… Alors si ce n’est pas le cas, sache que je t’aime et que mes sentiments pour toi resteront à jamais inchangés. Il en va de même pour ta mère, qui était une grande personne. Si tu ne nous revoies plus, ne sois pas triste parce que d’une façon ou d’une autre, nous serons toujours à tes côtés. Reste forte en toutes circonstances. Tu peux le faire parce que tu n’es pas n’importe qui. Tu es une Abatucci et tu es la petite-fille de Bacchus et de Vénus… Je t’aime, Alessandra, je ne t’oublierai jamais quoi qu’il m’arrive. Cette lettre, je l’ai laissée à côté d’elle alors qu’elle dormait. J’ai rassemblé quelques affaires et me voilà là, sur ce navire, prêt à embarquer. Convaincre les hommes qui s’occupent de cette expédition n’a pas été très difficile. Je leur ai simplement ramené quelques bouteilles de vin et ça a suffi. Après, pour le reste, il s’agit d’un pan de ma vie qui reste relativement flou. Je me souviens des jours de navigation que nous avons enduré, avec l’équipage. Je me souviens de la hâte d’arriver au bout que chacun avait en imaginant cette nouvelle terre. Enfin, je me souviens du moment où tout a déchanté. Je n’entrerai pas dans les détails mais nous avons fait naufrage. En plein milieu de ce qui sera plus tard connu sous le nom de Triangle des Bermudes pour les humains et sous celui de Mer des Monstres pour les demi-dieux. Quand nous sommes tombés, ce fut le noir complet pendant plusieurs minutes. A cet instant-là, pendant ma chute, je n’avais pas encore réalisé que c’était la dernière fois que je voyais mon monde ainsi, tel quel. Que plus rien ne serait jamais pareil, désormais. Plus rien du tout.

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La suite, en toute honnêteté, j’ai eu l’impression de la vivre comme une sorte de rêve. Ou plutôt de cauchemar. Le genre d’événements terribles que vous ne pouvez pas oublier parce qu’il fait partie de vous et qu’il vous hantera à jamais, à présent. Quoi que vous fassiez et où que vous alliez, il sera à vos côtés. Comme votre ombre. C’est ça : un passage dans la Mer des Monstres. On en ressort que très rarement en étant totalement indemne. Que ce soit physiquement ou même psychologiquement. Parfois, il peut aussi arriver qu’on n’en ressorte pas. Enfin… C’est un épisode que j’évite de ressasser et que je ne mentionne jamais. Je préfère que ce qui s’est passé dans la Mer des Monstres reste bien au chaud là-bas mais pourtant, aujourd’hui, il me semble ne pas avoir le choix. Cela dit, je vais aller vite sur ce passage et je ne me répéterai pas. Pour faire le plus simple possible, je me souviens m’être réveillé sur une île étrange, peuplée entièrement de cochons. Puis, après quelques minutes, j’ai découvert que je ne faisais pas exception à cette règle et que, moi aussi, j’arborais cet aspect dégradant. Tout s’est expliqué  plus tard lorsque j’ai découvert que cet endroit se trouvait sous la juridiction de Circé et qu’elle transformait quiconque s’aventure sur son île en cochon. Flatteur. Je n’ai pas cherché à m’extirper de cette condition. A quoi bon ? Qu’avais-je à perdre à l’extérieur, après tout ? Au moins ici, la vie était plutôt tranquille et je n’avais plus à me soucier de tous les problèmes de mon monde. Alors voilà, pendant plus de cinq cent ans, je suis resté au même endroit, sur cette île  relativement paisible. Le temps qui passe, tout ça, ça n’avait plus aucune espèce d’importance à mes yeux. Le monde pouvait bien s’écrouler demain que ça ne me toucherait pas plus que ça, je dois dire. Et puis un jour, il se passa encore un événement inattendu. La vie que je menais ainsi depuis des siècles, mon apparence, tout s’effaça en l’espace de quelques secondes. Il n’y avait plus que le noir total. Encore une fois...

♠️ Bâtir son avenir. ♠️
A partir de là, je me souviens avoir senti une présence à mes côtés. J’étais allongé alors que quelqu’un d’autre veillait sur moi et que je ne savais plus très bien où je me trouvais. Seulement quelques mots sont alors parvenus à franchir la barrière de mes lèvres. « Nora, c’est toi ? » Etait-ce cela, la description de la mort ? On revit des scènes du passé ? On retrouve des personnes qu’on a autrefois perdues ? Il y eut un nouveau mouvement et une voix me répondit simplement que non, il n’était pas la dite personne et qu’il ne connaissait aucun individu avec ce prénom-là. Plus tard, quand je me suis senti beaucoup mieux, j’ai appris qu’un certain Maximilian m’avait retrouvé inconscient sur l’une des plages d’un endroit qu’ils nomment Californie et qu’il m’a, par la suite, ramené ici en remarquant mon tatouage à l’épaule gauche : une grappe de raisin avec un sigle, SPQR. Un détail que j’avais complètement oublié. On m’a expliqué que j’étais à la Nouvelle-Rome et qu’il m’avait ramené sans trop de souci, avec toutes mes armes parce que ce dit tatouage était la preuve que j’étais bien un des leurs. Alors tout commença à faire son petit bout de chemin dans ma tête. Je me trouvais au camp, dans mon monde. Pourtant, j’avais la désagréable sensation que quelque chose clochait. Et le plus grand choc fut lorsque j’ai appris la date à laquelle nous étions actuellement : février 2015. Ça me paraissait inconcevable mais je ne pouvais pas me permettre de remettre cette affirmation en doute. Déjà parce que je ne reconnaissais absolument plus rien. Il y avait des engins étranges dont certains n’arrêtaient pas de se servir et surtout, je me suis rappelé l’évocation de ce lieu qui ne me disait rien du tout. J’ai expliqué à Maximilian d’où je venais, qui j’étais réellement et heureusement pour moi, il a accepté de m’aider à comprendre ce nouvel environnement qui m’entourait désormais. Petit à petit, j’ai commencé à assimiler plusieurs choses mais c’était encore particulièrement difficile pour moi. J’avais l’impression de devoir tout réapprendre, de recommencer depuis le début. Et surtout, pire que tout ça, j’avais l’amer sentiment d’être une relique du passé qu’on avait déjà oublié depuis longtemps. C’était extrêmement blessant pour quelqu’un comme moi. Mais je ne pouvais que me soumettre à cette réalité et accepter de me dire que cette époque n’était plus la mienne, que tout avait évolué et que je n’appartiens pas à cette période. J’ai donc pris la décision de m’isoler, ne souhaitant pas participer à leurs batailles parce que je ne sentais tout simplement pas concerné… C’est pendant ce passage à vide que j’ai fait la connaissance d’un petit garçon étonnant. Hiro, de son prénom. Au début, c’était assez banal et si je m’occupais de lui et qu’en retour, il m’apprenait des choses sur la technologie, il n’y avait rien de plus. En effectuant quelques recherches sur ce qu’était devenue ma fille pendant que je n’étais pas là, j’ai eu la surprise de découvrir que ce jeune garçon ainsi que sa famille n’étaient rien de moins que mes descendants. Je suis leur ancêtre. Alessandra a fini par se marier avec un certains Cesare et à force de naissances, nous en sommes arrivés à Hiro. Incroyable mais vrai. Aussi lointain que ce soit, mon sang coule dans les veines de ce garçon. Serait-ce là une occasion, une opportunité de me racheter de mes erreurs passées ? Je n’en sais rien et je pense que la réponse me parviendra au fil du temps. Après cela, j’ai décidé de me reprendre en main. Je suis vieux mais pas encore sénile et je n’ai pas oublié la petite conversation que j’ai eu avec mon cher paternel. J’ai bien l’intention de repasser sur le devant de la scène et de prouver à Bacchus que je suis encore là et que je n’ai rien perdu de l’époque. N’a-t-il pas dit ce jour-là qu’il garderait un œil sur moi ? Je pense que c’est le moment de tourner ça à mon avantage. Il est temps pour moi de sortir de l’ombre. Je suis de retour et même lui ne pourra l’ignorer bien longtemps ! Je m’en assurerai !


Son Histoire à la maison des loups

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]La Louve m’a prévenu. Et elle ne m’a pas menti. Deux épreuves, a-t-elle affirmé. Deux défis qu’il est nécessaire de réussir si je veux survivre, si je veux aller plus loin. Il faut que je lui montre que je mérite d’être ce que je suis. Que je mérite ce soi-disant privilège. Même si je n’ai jamais rien demandé de tout ça. Je réussis, je vis, j’échoue, je meurs. C’est plus ou moins ce que j’ai compris de ses paroles. Or ça tombe bien puisque je n’ai pas l’intention de mourir maintenant. Je veux voir de mes propres yeux cet étrange endroit dont elle m’a parlé. Je veux pouvoir le contempler, vivre quelque chose qui n’est pas à la portée de n’importe qui. Je veux prouver que j’existe. Alors j’ouvre les yeux… Et je me rends compte que le paysage n’est plus du tout le même. Je me retrouve en plein centre d’une grande arène à l’apparence antique, un peu comme le Colisée. Les gradins sont tous complets et les citoyens présents semblent hurler leur envie de sang, pourtant, une drôle de sensation me traverse. Je n’ai pas l’impression que c’est sur moi qu’ils déversent leurs envies de meurtre. Au contraire, aucun d’entre eux ne semble réellement percevoir ma présence. C’est un peu comme s’ils criaient dans le vide. Ou comme si, moi, je ne suis finalement que dans un rêve, dans une sorte de dimension, à mi-chemin entre l’illusion et le réel. Pour un peu, j’ai presque l’impression de flotter. Un bruit de pas attire soudainement mon attention. En face de moi, un inconnu franchit l’une des grandes portes et avancent dans ma direction. Etrangement, lui semble justement être en mesure de me voir. Détaillant ses habits au fur et à mesure de son avancée, je remarque qu’il est vêtu comme les gladiateurs de la Rome Antique. Commençant à comprendre les enjeux de cette épreuve, je m’observe avant de constater que j’ai exactement les mêmes apparats que lui. Un glaive, un bouclier, une tenue classique. Un duel. Une épreuve pour tester mes capacités au combat. Lupa m’a bien parlé de ce qui risquait de m’attendre. Je soupire, me concentrant de toutes mes forces, je me mets en garde, bouclier levé et glaive dégainé. J’attends qu’il attaque le premier. Lorsqu’il arrive sur moi, je bloque son coup en me protégeant la tête avec mon bouclier et je réplique aussitôt en envoyant la pointe de mon arme en direction de son ventre. Malheureusement, un bond en arrière lui permet de l’éviter au dernier moment. Nous nous regardons en chiens de faïence pendant quelques secondes supplémentaires et cette fois-ci, c’est moi qui me décide pour l’attaquer en premier. Bouclier en avant pour m’assurer une protection et glaive prêt à frapper, je cours vers lui et, une fois arrivé à son niveau, je feinte de lui envoyer seulement mon bouclier au visage alors qu’au dernier instant, je change de stratégie en faisant faire une courbe vers le bas avec mon glaive pour l’abattre sur ses jambes. Gagné. Je ne lui tranche pas les genoux mais je le blesse suffisamment pour que le coup le fasse tomber au sol. Histoire d’être certain qu’il ne tente rien de plus contre moi, je lui assène un coup de bouclier en plein visage pour le sonner un peu plus. Mais alors que je m’apprête à lever mon glaive pour en finir avec lui en lui tranchant la gorge, je disparais. En direction de la seconde épreuve, je suppose.

« Tu ne mérites pas de porter ce nom, Almerigo. Cet héritage ne devrait pas être le tien. » J’ouvre soudainement les yeux. Nouveau paysage, nouveau défi. Sauf que celui-là, il est loin de m’être inconnu. Je suis revenu à Florence, ou du moins, une illusion me donne la sensation d’y être. Là, sur un des ponts de la ville qui traverse le fleuve de l’Arno. Je suis debout et en face de moi, il y a cette femme qui ne cesse de répéter ces phrases. Elle me connaît mais moi, c’est la première fois que je la vois. « Qui êtes-vous ? Qu’est-ce que vous voulez ? » Elle m’en veut alors que j’en ignore le pourquoi du comment. Qu’est-ce qui va me tomber dessus, cette fois ? « Ta simple existence est une erreur. Les simples traits que tu as en commun avec ton père me répugnent. Ce lâche qui n’a pas hésité à m’abandonner. Avec sa progéniture. Tu n’aurais jamais dû exister. Jamais. » Alors tout s’explique… On m’envoie ma mère. Celle qui m’a, à son tour, abandonné comme si je n’étais rien. Je comprends mieux pourquoi, à présent. « Moi aussi je suis enchanté de faire votre connaissance, mère… » Ironie et sarcasme, évidemment. Si on m’avait laissé le choix, je me serais volontiers passé de cette entrevue des plus désagréables et ce, même malgré le cadre. « Ce nom n’aurait jamais dû être tien… Tu m’as gâché la vie, tout comme ton père avant toi. C’est pour ça que je me suis débarrassée de la source de mes malheurs. » Soit… Si ma seconde épreuve consiste à lui tenir tête, alors j’arriverai à prendre sur moi. J’arriverai à faire taire ce fantôme du passé qui revient me hanter. Je soupire tout en soutenant le regard de celle qui ne mérite aucune autre appellation que celle de génitrice. Et encore, j’ai le sentiment que c’est encore accorder trop d’importance au monstre d’égoïsme qu’elle est, de la nommer ainsi. « Taisez-vous. La ferme. Vous avez perdu le droit de porter un jugement à mon égard le jour où vous m’avez laissé dans la boue ! Vous n’avez jamais eu aucune espèce d’importance pour moi ! Ce nom, c’est le mien. Et même si je l’ai hérité de vous, je le porterai fièrement pour le rendre plus noble et beau que lorsque vous en aviez la charge. Il ne vous appartient plus. Et vous, vous n’êtes plus rien. » Son visage change d’expression. Il devient plus sombre, plus colérique. Elle ne supporte pas cette résistance. Elle ne supporte pas que je n’ai pas besoin d’elle pour vivre ma propre vie. En quelques secondes, elle se retrouve devant moi, à me fixer comme si j’étais son prochain repas. Je ne bouge pas d’un cil et je continue à la regarder droit dans les yeux. Elle n’est qu’une illusion. Je ne dois pas flancher, je dois tenir. Je dois lui prouver que je mérite d’exister que je n’ai pas volé ma place dans ce monde. Que je suis le seul à pouvoir disposer de ma vie comme je l’entends et à décider du chemin que je dois suivre. « Que dis-tu ? » Elle s’énerve. Mais je ne m’excuserai pas, je ne me soumettrai pas. Je pense ce que je lui ai dit et il est hors de question que je me rabatte. Surtout pas maintenant. « Que vous n’êtes rien. Vous n’avez aucune substance, aucune existence. Je vis la vie que je désire et vous ne pouvez pas le supporter. Pourtant vous n’êtes qu’une simple illusion. Un claquement des doigts et vous disparaissez. Vous voulez qu’on fasse le test ? » Avant qu’elle ne puisse répliquer quoi que ce soit, je lève la main droite et je fais claquer mes doigts sans attendre. Alors l’image de celle qui m’a mis au monde commence à s’évaporer, telle une traînée de brume. Je me mets ensuite à marcher de façon instinctive, en direction de ce fameux camp promis par Lupa. Je vais le trouver, ça ne fait aucun doute. Et je ne me suis pas trompé. A force de marcher encore et encore, j’ai fini par y arriver. Ma présence signalée, je me suis littéralement effondré sur le sol…



ses pouvoirs

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Alcokinésie. ⊱ Ce pouvoir peut faire rire mais il sait se montrer très utile. Comme son nom l’indique, c’est la capacité de maîtriser l’alcool. Je le contrôle plus ou moins à ma guise mais dans l’immédiat, il se trouve que je ne suis pas en mesure de créer ce liquide ou en tout cas, je ne me souviens plus comment on fait. Du coup, je suis obligé d’en avoir sur moi si je souhaite m’en servir. Généralement, je conserve une petite gourde que je remplis régulièrement parce que, évidemment, il arrive parfois que je le perde ou que… Je le boive. Et on dit merci papa !

Dandrokinésie. ⊱ Une autre capacité qui peut se montrer très intéressante. C’est tout simplement la maîtrise du bois. De même, pour cette capacité, c’est mieux qu’il y en ait à proximité et justement, ça tombe bien puisqu’il se trouve que c’est beaucoup plus facile à dénicher dans la nature que l’alcool ! Je peux le façonner de diverses manières et selon les différents besoins du moment. C’est cela qui est bien pratique avec ce pouvoir. Il ne me sert pas nécessairement que lors d’un combat et justement, je n’hésite pas à en profiter dès que je le peux !



derrière l'écran

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]⊱ PRÉNOM : cf Seth. ⊱ PSEUDO : Dagouillette. ⊱ AGE : cf Seth. ⊱ CÉLÉBRITÉ : Colton Haynes. ⊱ CODE DU RÈGLEMENT : Ok by Lia  Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 2176505670  et arrête de te plaindre vilaine <3 ⊱ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Je commence à me dédoubler, ça vous aide ? D8 ⊱ OU AS-TU CONNU PJRPG ? Toujours à cause d’une gueuse. ⊱ BESOIN D'UN PARRAIN OU D'UNE MARRAINE ? Nop. ⊱ FRÉQUENCE DE CONNEXION : Une fois par jour. ⊱ INVENTE OU SCÉNARIO ? Inventé. ⊱ DERNIER MOT : Je vous hais ! D8

Code:
[b]Colton Haynes[/b] › Almerigo A. Abatucci

Code:
[b][color=#ffffff]Almerigo A. Abatucci[/color][/b] › Alcokinésie (...) - Dandrokinésie (...)



✓ Statut de la présentation : terminée
✓ Suivie par : Liana

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Invité
Invité
Sam 12 Déc 2015 - 15:00
Rebienvenue parmi nous vile gueuse, bon même si tu connais le message je le reposte et par ailleurs, tu le sais déjà mais je VEUX un lien avec Aelia (a)





[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Welcome Here!
Good Luck


Bienvenus sur PJ RPG jeune Padawan <3 Je suis la modératrice en charge de ta fiche! J'espère que tu te plairas parmis nous!

Voilà quelques petites adresses qui pourraient t'être utile! Tout d'abord le pack de base qu'il faut que tu lises absolument si tu veux comprendre le forum [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] c'est à dire le réglement, le contexte et les intrigues. Réglement qu'il faudra d'ailleurs signer impérativement dans ce [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
Ensuite voici de quoi t'aider pour tes [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu es un demi-dieux. Tu es prié de respecter cette liste et d'éviter d'inventer un autre pouvoir, nous pensons avoir mis assez de choix dans une gamme assez variée. Pour les dieux c'est par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Ensuite et par ce que tout le monde en a besoin, pour avoir plus de précisions, informe toi sur ton camps quel qu’il soit dans ce [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Il y a de nombreuses précisions qui pourraient t'être utile pour ta fiche.

Et s'il te reste encore des questions, direction la partie [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] où nos parrains et marraines se feront un plaisir de répondre à toutes tes questions.

Et puis pour finir en beauté fait toi plaisir en regardant les vidéos du forum [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Voilà <3 Bonne chance pour tout ça! Je repasserais plus tard et n'oublie pas que tu as une semaine pour faire ta fiche! <3

BY .TITANIUMWAY

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Invité
Invité
Sam 12 Déc 2015 - 15:30
Colton + Bacchus. Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 1971204333

Rebienvenue ! love
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Anonymous





Invité
Invité
Sam 12 Déc 2015 - 15:39
Rebienvenu à toi Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 847188 Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 297193
Ton personnage va tout déchire, j'en suis sûr !!! :lechouille:
En tout cas, j'ai hâte d'en apprendre plus héhé, ça risque d'être un cas chez les romains Razz
Super choix de vava et de parent divin Wink
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Almerigo A. Abatucci
Nombre de messages : 241
Localisation : ♦ Au Camp...
Points d'expériences : 1374

Ma petite quête sur moi
Dieu/Déesse: ♦ Bacchus.
Niveau: 9
Les pouvoirs: ♦ Alcokinésie & Dandrokinésie.





Almerigo A. Abatucci
Le Dernier Humaniste ❧ Centurion de la 1ère Cohorte.
Sam 12 Déc 2015 - 18:59
Liana ; Tu vas avoir le droit à toutes mes fiches, toi ! XD Merci ma moumoulinette (a) Et évidemment qu'un lien est obligatoire, au moins avec Aelia ! Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 79475 Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 297193

Regan ; Merci ! Si ces choix te plaisent, attends un peu de voir la suite ! Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 3184289597

Nathan ; Merci ! What a Face J'espère que tu ne seras pas déçu ! XD
Un cas ? Mais non voyons ! Ce sera une vraie crème ! Les romains vont l'adorer et tout... Non vraiment, ce sera pas du tout un cas. Razz
Encore merci ! :lechouille:
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Anonymous





Invité
Invité
Sam 12 Déc 2015 - 23:07
OMG OMG OMG OMG OMG OMG t'es tellement beau bave

Bon, j'adore Colton Haynes faudra qu'on fasse des babyes j'en faisais avec l'ancien Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 4153354820

Bon aller rebienvenue et fait nous une putain de présentation de ouf love
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Tyler W. Blackstone
Nombre de messages : 3086
Points d'expériences : 9911

Ma petite quête sur moi
Dieu/Déesse: Pluton
Niveau: 31
Les pouvoirs: Terrakinésie, Magnétisme, Richesse facile, Contrôle mental.





Tyler W. Blackstone
The Fallen Prince ♣ Chirurgien Sociopathe.
Sam 12 Déc 2015 - 23:39
Le beau gosse !! ** J'ai trop hâte de lire tout ça ! Bon courage pour la rédaction de ta fiche love
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Invité
Invité
Lun 14 Déc 2015 - 20:29
Cet avataaaaaaaaaaaaaaaaaaaaar!
Re bienvenue, avec ce personnage qui gère la fougère!
Bon courage pour la suite What a Face
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Almerigo A. Abatucci
Nombre de messages : 241
Localisation : ♦ Au Camp...
Points d'expériences : 1374

Ma petite quête sur moi
Dieu/Déesse: ♦ Bacchus.
Niveau: 9
Les pouvoirs: ♦ Alcokinésie & Dandrokinésie.





Almerigo A. Abatucci
Le Dernier Humaniste ❧ Centurion de la 1ère Cohorte.
Mar 15 Déc 2015 - 1:11
Victor ; Trop d'amour, je suis flattée ! Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 3184289597
On fera des bébés si tu veux, on se casera ça pour un soir, en mode pénard. love
Merci ! J'espère que l'histoire te plaît ! Arrow

Tyler ; Toujours. Cool Merci ! XD Bon bah pareil hein, j'espère que tu n'es pas déçue ! Razz (sinon, dis-le moi, je réécris tout !)

Bowie ; Merci beaucouuuup ! love
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Invité
Invité
Ven 18 Déc 2015 - 3:28
TOI T'ES CANON JE TE BAIZ ET JE TE METS DE DOUAS PARTOUT love
Rebienvenue jeune folle, je veux des liens :smiley fuck: :flemme de chercher:
Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 1971204333
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Almerigo A. Abatucci
Nombre de messages : 241
Localisation : ♦ Au Camp...
Points d'expériences : 1374

Ma petite quête sur moi
Dieu/Déesse: ♦ Bacchus.
Niveau: 9
Les pouvoirs: ♦ Alcokinésie & Dandrokinésie.





Almerigo A. Abatucci
Le Dernier Humaniste ❧ Centurion de la 1ère Cohorte.
Sam 19 Déc 2015 - 22:26
VAS-Y, QUAND TU VEUX, JE T'ATTENDS. :swinou: Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 1971204333
Merci ! T'auras des liens si tu es sage, ma morue. Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 1777299334 love
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Invité
Invité
Sam 19 Déc 2015 - 23:58
Allez Sexy Al, rejoins les tiens romains, t'es validé Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 4170629200 un admin passera te donner ta couleur et te mettre dans ta cohorte ! Et réserves moi un lien bien au chaud, oh et une chose, sérieux, ta fiche déchire vilaine love
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Almerigo A. Abatucci
Nombre de messages : 241
Localisation : ♦ Au Camp...
Points d'expériences : 1374

Ma petite quête sur moi
Dieu/Déesse: ♦ Bacchus.
Niveau: 9
Les pouvoirs: ♦ Alcokinésie & Dandrokinésie.





Almerigo A. Abatucci
Le Dernier Humaniste ❧ Centurion de la 1ère Cohorte.
Dim 20 Déc 2015 - 14:13
Merci madame ! Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 4170629200 Quand tu veux pour les liens, y a aucun problème ! :Zouzou: Et contente que tu aies aimé ma fiche ! love
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Tyler W. Blackstone
Nombre de messages : 3086
Points d'expériences : 9911

Ma petite quête sur moi
Dieu/Déesse: Pluton
Niveau: 31
Les pouvoirs: Terrakinésie, Magnétisme, Richesse facile, Contrôle mental.





Tyler W. Blackstone
The Fallen Prince ♣ Chirurgien Sociopathe.
Dim 20 Déc 2015 - 15:41
Félicitation pour ta validation (a) Tu rentres dans la 1ere Cohorte ! Razz
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Almerigo A. Abatucci
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Ma petite quête sur moi
Dieu/Déesse: ♦ Bacchus.
Niveau: 9
Les pouvoirs: ♦ Alcokinésie & Dandrokinésie.





Almerigo A. Abatucci
Le Dernier Humaniste ❧ Centurion de la 1ère Cohorte.
Dim 20 Déc 2015 - 15:56
Merci m'sieur ! Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même." 4170629200
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Almerigo ♦ "Un jour, on m'a dit que je pouvais être ce que je voulais... Alors ! J'ai décidé d'être moi-même."
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