[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]« Tu sais que c’est limite « stalker » demander l’histoire de quelqu’un? Franchement, dire que tu me pose ça comme question. Aussi bien me mettre toute nue devant la fenêtre de ma chambre, ça vas revenir au même. Tu devrais même prendre des jumelles pour être certain de ne pas manquer tous les détails de mes nichons. Tu veux prendre des photos aussi? Quel barjo. » Une fois ma petite crise calmée, je décide de commencer mon récit. Bah quoi? Il est plutôt mignon pour un taré. « Qu’est-ce que tu veux savoir? » Évidemment, il a fallu qu’il me réponde : tout. Bon je l’avais cherché. Au fils des années, j’avais remarqué une très forte corrélation entre un beau mec et la petitesse de leur cerveau. Ouais, des imbéciles quoi, vous avez tout compris. Bref, je me décide donc à raconter mon histoire à ce fils de Dionysos tout simplement car il a une gueule d’ange. « Alors hum pour commencer… » Je lui défile alors toute mon histoire. Je lui raconte en autre que ma mère est d’origine grecque et que mon père lui est d’origine italienne. Enfin, mon père adoptif, car Apollon est mon véritable père. Mais ça, ma mère s’est très bien gardé de m’en faire part jusqu’à temps qu’au fil des ans je découvre le pot au rose par moi-même.  Lupa aidant bien entendu.

« Je suis née en octobre à Athène. C’est d’ailleurs ma saison préférée. Toutes ces couleurs me rendent particulièrement d’humeur joyeuse. En plus, je peux autant mettre des vêtements d’été que d’hiver puisque c’est entre les deux, la joie quoi! Vous l’avez très vite compris, je suis plutôt une femme qui adore ce qui est femme? Ça se dit ça? Enfin, peu importe. Je disais donc que j’adore les vêtements et l’automne. Ouhhhh on avance dans le récit. Je devrai peut-être faire une biographie? Ça irait peut être mieux? » Je ricane face à ma bêtise, mais le regard du taré me ramène sur le droit chemin. « Ouais j’ai un excellent sens de l’humour. Je me considère comme celle ayant le plus de vie sur le camp. J’adore ricaner avec mes amies et faire des idioties. Je suis toujours souriante et c’est bien rare que vous allez me voir abattue dans mon coin. Bon je m’égare. J’ai souvent tendance à passer du coq à l’âne et à parler. Oui je parle beaucoup, ça c’est certain. Donc je disais? Ahhhhhhh mon histoire! Tu veux encore la savoir? Franchement tu es tenace le jeune. » Je soupire et prend une grande respiration, c’est parti :

« J’adore mes parents. Enfin, j’aime encore plus mon beau-père. Il a toujours été présent pour moi. À me soutenir dans les moments difficiles. Ma mère, elle semblait me redouter un peu, comme si j’étais une bombe à retardement. Elle avait malheureusement raison. Dire qu’à son dixième anniversaire on apprend qu’on est fille d’un dieu. Ah! Quelle blague. Je désirais plus que tout être normale. Plus jeune, j’avais tout fait pour essayer de cacher mon hyperactivité et ma dyslexie. De ce fait, j’étais un peu devenue un moulin à paroles au lieu d’un enfant qui ne pouvait s’arrêter de bouger. Je me suis vite rendue compte que je tombais sur les nerfs de mes amis avec ce débit continu de paroles. C’est ce pourquoi je me suis mise à dessiner pour m’exprimer. De manière compulsive, j’adorais dessiner tout ce qui me passais par la tête. En plus, j’étais réellement douée pour cet art. C’est de cette manière que mon don s’exprima pour une première fois. Sous mes yeux ébahis, je vis alors mon dessin bouger de lui-même sur sa feuille. J’avais alors 7 ans et je n’avais pratiquement plus jamais touchée à une feuille, de peur que cela se reproduise. Ma mère n’avait en effet jamais arrêté de mentionner à quel point il était important d’être bien vue par la société. Et même à mon âge, je savais que d’être capable de faire bouger des dessins me donnait un billet simple pour l’asile du coin. J’avais peur de mes capacité et je décidai donc d’enfouir cela au plus profond de moi-même. Puis, celui que je pensais être mon père tomba gravement malade, une tumeur avait élu domicile dans son cerveau. Il n’avait presque plus de temps pour vivre. L’horreur de la situation me fit tomber dans une grave dépression. Toutefois, vers mes 9 ans, mon père, sur son lit de mort, me dit de ne jamais plus arrêter de sourire, de ne jamais me laisser abattre par des situations qui semblent impossibles à vivre. Que ma plus grande qualité était ma joie. Qu’il ne fallait surtout pas que je la perde et que c’était là, mon arme la plus efficace. En sa mémoire, je me suis donc dit que plus jamais je ne serais aussi abattue et que j’allais être celle sur qui on peut compter pour remonter le moral. Je suis toujours prête à aider les autres et parfois, cela peut me nuire puisque certaines personnes mal intentionné utilisent ma gentillesse pour leur bénéfice personnel. Loin d’être une idiote, je m’en rends toutefois compte beaucoup trop tard, lorsque le mal est déjà fait.
Après la mort de mon père, j’eu la visite de Lupa et c’est alors que toutes les choses que j’avais refoulée en moi dans l’espoir d’être la fille normale tant désirée par ma mère firent surface. Sans le savoir, j’avais déjà pris la décision de m’accepter tel que j’étais en mémoire de mon père et je partis donc vers le camp Jupiter. Au début, je trouvais toutes ces manœuvres militaires déroutantes, mais bien vite, je trouvais un certain réconfort face à cette unité. Je me sentais bien et c’est par hasard que mon deuxième don se manifesta. J’avais sans le vouloir envoûter des demi-dieux lorsque je m’étais mise à fredonner dans un parc près du champ de mars. »

Il y avait toutefois des choses que je souhaitais taire. Lors de la prise des camps par les partisans, j'avais été faite prisonnière. Encore une fois, j'avais du mettre toute ma bonté derrière moi. Il était temps pour moi de sortir de mon trou et d'enfin voir que nous étions en guerre et qu'il n'y avait pas de place pour les pacifistes. J'eu alors ma leçon plus d'une fois. Lors du festin organisé par les partisans, ils nous ont fait manger de la viande humaine. Cela m'a tellement écœurée que plus jamais je ne toucherais de viande. Puis, il y eu alors la libération, enfin je pouvais respirer. Puis, tout bouscula de nouveau. Les restrictions de Zeus se firent de plus en plus intenses et les esprits commencèrent à s'échauffer. Toutefois, je préféra rester en retrait.

C'est alors qu'un flot de souvenirs s'empara de moi:

Je marchais sur des terres de feux. Comme à l'habitude, je marchais jusqu'à l'épuisement, mais pour moi, l'épuisement n'existait pas. La tourmente et le désespoir se lisaient à présent sur mon visage déchu. La vie avait été si belle dans le camp me rappelais-je chaque jour. Mais il avait fallut que ce sale démon m'empêche de vivre. Il avait fallu qu'il me torture avant de me laisser mourir. Pourtant je n'avais rien fait de mal, non rien du tout. Pourquoi m'avait-il choisie moi? Une fille ordinaire et gentille? Je n'en savais rien et je n'osais pas demander la réponse au démon. Marcher, marcher, marcher toujours marcher sans but précis ni destination. Le mal et la vengeance qui vous rongent les os pour vous mettre des idées noires dans l'esprit. L'errance éternelle. Manger vous lasse, boire vous lasse et la vie vous manque. Prise au piège dans une terre de feux sans pouvoir en sortir. À moins que... Non trop risqué. Je venais de m’asseoir sur le bord d'un bassin. Le seul bassin dans ce maudit monde. Des cris, des pleurs et des lamentations déchiraient ma tranquillité d'esprit. Il faut les ignorer sinon c'est nous qui pleurerons, cirerons et nous lamenterons les prochains. Une goutte de la couleur du vin tomba, puis une deuxième. Des larmes de sang oui... Des larmes de souffrance et d'injustice. À chaque gouttelettes tombée une image apparaît, une image du monde des vivant ou une version miniature de ce qui allait se passé, je n'en savais rien. Mais cette journée ne serait pas identique aux autres, non bien plus étrange et heureuse que les jours précédents. Cuiseuse je touchai la surface de l'eau du bout des doigts, ce que je n'avais jamais fait auparavant. Je me sentie tout de suit aspirée dans les profondeurs obscures du bassin. Non! C’était un piège! Je refis brutalement surface dans le monde présent. Je hurlai de douleur et vu ma jambe ensanglantée, des trous parcourant la moindre parcelle de chair. Je failli m’évanouir et retrouver la solitude du monde que je m’étais créer afin de protéger mon esprit. Une gifle retentissante fit basculer ma tête en arrière et on me força à regarder. Regarder la pire chose que je n’aurais jamais vue.  Je sentis que j’étais sur le point de sombrer, mais la sensation de brûlure intense que je ressentis me ramena au présent. On me marquait au fer rouge, comme du bétail. Des larmes coulèrent sur mes joues enflées. Je voulais que tout s’arrête. Laissez-moi mourir pitié. Pourquoi me refusais-t-on cette délivrance? Je marchais sur des terres de feux. Des larmes de sang coulaient dans un bassin et je vis des images de mon ancienne vie. Mon esprit se déchira abruptement et j’ouvris les yeux pour découvrir mon compagnon se faire torturer encore une fois. Non, je ne voulais pas voir. Puis, le démon cessa de lui faire du mal pour se tourner vers moi, un sourire cruel aux lèvres. Mes supplications avaient été entendues. Il ne lui ferait plus de mal… Il m’en ferait à moi. Je marchais sur des terres de feux.

Je hurlai et découvris que j’étais toujours assis près du jeune homme qui m’avait demandé mon histoire. J’avais le corps en sueur et des tremblements secouaient tout mon corps. Rien ne serait jamais vraiment fini.

J'ai dû réapprendre à marcher après la bataille de Salt Lake City. Les blessures que le monstre m'avait fait subir lorsqu'il m'avait enlevé étaient trop importante pour les guérisseurs du coin. Il avait semble-il utilisé un artefact empêchant une bonne guérison rapide de mes blessures. Cela l'avait sans doute bien amusé.

Aujourd’hui, à 24 ans, je me sens à ma place et surtout je me sens comprise par mes pairs.Mon don m'a également permis de devenir une excellente espionne au sein du camp Jupiter.  Je sais qu'une bataille imminente approche et je dois être prête. Chaos est de retour et cette fois, je ne me laisserais pas capturé par ces monstres.    

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Un minimum de 10 lignes vous est demandé. Racontez son passage à la maison des loups, ses épreuves avec Lupa, la façon dont il a trouvé seul le camp Jupiter. Quelque chose de chaud et humide vient se coller contre mon cou. Dans un grognement, je me retourne sur ma couche et essaie de chasser ce qui vient tout juste t’interrompre mon sommeille. Soudain, je me fige. Mes doigts viennent de s’enfoncer dans ce que je crois être de longs poils rêche. J’ai peur d’ouvrir les yeux, j’ai peur de voir cette chose qui est à deux doigts de mon visage. Lentement, j’ouvre les yeux et retiens un cri. Une énorme louve se tiens juste devant moi. Je fais quelques pas vers l’arrière à quatre pattes pour mettre le plus de distance entre moi et la louve. Malheureusement, mon dos se cogne contre un arbre. C’est alors que je prends soudain conscience de l’environnement qui m’entoure. Je suis dans une forêt peuplée de conifère et ce que je croyais être mon lit était en fait un tapis de mousse. Je sens mon cœur battre la chamade et je fixe la louve du regard.

-Je me nomme Lupa jeune romaine.

Mon dieu cette chose parle! Pourtant je n’ai pas vu sa gueule bouger. Je prends alors conscience que j’ai entendu la voix dans ma tête. Ça y est je deviens folle. Puis, il y a plusieurs flash qui se font dans mon esprit. Je me vois courir pour échapper à quelque chose, je me vois dessiner et faire sortir un colibri de mon dessin, je vois mes yeux devenir blanchâtre au fur et à mesure et puis c’est comme si je me trouvais dans mon colibri, je peux tout voir du haut des airs. C’est alors que je remarque les gens s’approcher de moi dans un parc alors que je fredonne une mélodie. Ils semblent tous en transe et cela m’effraie. Je vois ma mère essayer de me cacher un objet. Puis, une douleur éclatante laisse place aux images dans ma tête et je m’effondre au sol. Lupa vient de me forcer à faires des liens, à voir la vérité en face, celle que j’ai toujours redoutée et refoulée dans mon subconscient. Je suis entière, je suis complète, je sais qui je suis réellement à présent. Fille de dieu, demi-déesse, ces mots prennent tout leur sens et je sais que j’ai réussi la première épreuve.

C’est alors que du bout de son museau, Lupa m’indique quelque chose au sol. C’est un calepin avec une plume dorée, j’ai l’impression qu’elle m’est destinée. Curieuse, je me relève et décide de prendre ces objets. Alors je me mets à dessiner un énorme dragon, c’est alors que de la fumée s’échappe de mon carnet et soudain, je vois l’encre de mon dessin s’animer et commencer à bouger. Puis, la page commence à vibrer entre mes mains et soudain, une énorme explosion retentit et un dragon me fait maintenant face. Je hurle et essaie de m’enfuir, mais je ne peux pas, je suis le dragon, je ne contrôle plus mon corps. Impuissante, je regarde le dragon prendre une grande inspiration et cracher ses flammes meurtrières vers moi. Une poussée d’adrénaline s’empare de moi et d’un geste brusque je trace un énorme X sur mon dessin avant que les flammes ne viennent me consumer. C’est alors que tout disparaît de nouveau. Ma deuxième épreuve est terminée.

C’est alors que j’entends gronder derrière moi. Je sais que je vais devoir combattre. J’ai toujours détestée la violence. Je suis plutôt quelqu’un de pacifique, mais avec cette épreuve, Lupa me fait clairement comprendre que je ne dois pas hésiter à recourir à la violence lorsque cela est nécessaire. D’un bond la louve s’élance sur moi et un combat sanglant s’enclenche. Je sens ma peau être déchirée sous les crocs de la bête, le sang couler le long de mes blessures, mes os se fracturer. J’ignore la douleur et c’est instinct de survie qui prend alors place. Aussi vite que le combat a été commencé, il est terminé. Je me retrouve alors à la même place qu’avant sur mon lit de mousse. J’ai réussi les épreuves.

Toutefois, je remarque que le carnet et la plume sont toujours là. Je décide alors de les utiliser pour créer un faucon et survoler les alentours, après une vingtaine de minutes, je remarque alors l’entrée du camp Jupiter. Je réintègre mon corps et me met en marche. Malheureusement, je n'avais pas prévu qu'une horde de centaure me catalogue comme étant une ennemie qui vient d'entrer sur leur territoire. C'est le corps couvert de blessures dû à ma fuite désespérée à travers les bois en évitant certaines flèches empoisonnées que j'atteignis enfin la porte. J’avais alors 10 ans.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Création et Manipulation de dessins : Lorsque Ilaria dessine quelque chose, elle est capable de les faire sortir de son dessins et de les contrôler. Elle peut également contrôler leur taille afin qu’ils soient plus petit ou bien plus grand. Lorsqu’elle dessine, elle entre dans une sorte de transe et ses yeux deviennent complètement blancs. Ils garderont cette teinte tout le temps que durera son contrôle sur ses créations. Elle est capable de voir ce que ses créations voient. Plus tard, elle utilisera ses créations pour combattre à sa place.

Envoûtement par le chant : Ilaria a une voix extrêmement belle et envoûtante. Elle est capable d’envoûter des personnes ou des animaux  afin qu’ils puissent faire ce qu’elle désire. Elle peut leur dire de se jeter en bas d’un pont, de lui ouvrir une porte, d’attaquer un ami, etc... Ils sont sous son emprise dépendamment du temps que sa chanson a duré. Plus sa chanson est longue, plus ils resteront longtemps sous son emprise et plus sa chanson est courte, ils seront moins longtemps sous son emprise.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]⊱ PRÉNOM : Gaby  ⊱ PSEUDO : Gaby ⊱ AGE : 21 hivers ⊱ CÉLÉBRITÉ : Jana Kramer ⊱ CODE DU RÈGLEMENT : chelsea a emporté le code! ⊱ QUE PENSES-TU DU FORUM ? potable (a) ⊱ OU AS-TU CONNU PJRPG ? une furie blonde ⊱ BESOIN D'UN PARRAIN OU D'UNE MARRAINE ? nah ⊱ FRÉQUENCE DE CONNEXION : 5/7 ⊱ INVENTE OU SCÉNARIO ? inventé ⊱ DERNIER MOT : Tralala

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[b]Jana Kramer[/b] › Ilaria Baccelli

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[b][color=#594087]Ilaria Baccelli[/color][/b]› [i]Envoûtement par le chant (...) - Création et manipulation de dessins (...) [/i]