Seth ♦ "There's nothing in this world I wouldn't do..."

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Pour beaucoup de gens, le passé reste une période qu'on ne souhaite pas évoquer, dont on ne souhaite pas se rappeler. Et pour la plupart, il s'agit d'une envie tout à fait compréhensible. Le passé, ça nous marque de façon irréversible, que ce soit en bien ou en mal. Il nous construit, nous forge... Au final, nous le détestons alors que nous lui devons aussi notre vie actuelle. Contradictoire, n'est-il pas ? Et pourtant... Enfin passons, ce qui vous intéresse aujourd'hui, c'est mon histoire personnelle, pas vrai ? Alors prenez un siège, bouclez-la et contentez-vous de m'écouter. N'ayez aucune crainte, je tenterai d'être bref, tout en étant concis et en omettant un minimum de détails importants. Juste pour vous. Ne me remerciez pas. C'est gratuit.

Je ne me souviens plus précisément de mon lieu de naissance. C'est quelque chose qui n'a pas réellement d'importance à mes yeux et mon père n'a jamais trop voulu évoquer le sujet. Alors je n'ai pas insisté. Je sais juste que je suis né sur le continent américain et ça me suffit amplement. C'est peut-être idiot de ne pas chercher à en savoir davantage mais je n'ai jamais eu particulièrement envie de me lancer dans des recherches qui, au bout du compte, ne m'apporteront rien et ne me feront pas plus avancer dans ma vie actuelle. La seule chose notable qui ait quelque peu bouleversé mes plus jeunes années, c'est la découverte de ma dyslexie et de mon hyperactivité... Mais de ce que je me rappelle, c'était plus compliqué à gérer pour moi que pour mon père qui ne semblait pas y accorder énormément d'importance. Cela dit, ça, j'en ai rapidement pris l'habitude. A part sa petite personne, il ne s'intéressait pas à grand-chose, de toute évidence. J'étais jeune mais étrangement, j'étais loin d'être complètement stupide. Et ma première impression sur mon père s'est belle et bien confirmée lorsqu'il a décidé d'épouser cette femme. Encore une fois, il le faisait pour son propre intérêt. Sans penser à ce qui aurait été un peu mieux pour son fils unique, à cette époque. Et ça, je ne le comprends vraiment que maintenant. Il a donc épousé cette dame.

J'avais six ans à ce moment-là. Quand j'ai rencontré la fille de ma belle-mère. Scarlett. C'était ça son prénom. Elle semblait gentille. Je pense que j'aurais pu bien m'entendre avec elle... D'ailleurs, au commencement, c'est une histoire qui avait magnifiquement bien commencé. Je pensais que mon père avait peut-être un peu changé grâce à cette dame. Belle erreur. Il n'a fait que mieux dissimuler son jeu pour refrapper par la suite. De l'une des façons les plus horribles qui soit. J'avais neuf ans quand l'horreur a débuté et ma sœur par alliance, elle, elle en avait seulement six. En premier lieu, il était le seul à agir. Il frappait Scarlett et parfois, il allait même plus loin avec elle. Il lui faisait des choses atroces qu'un enfant de mon âge ne pouvait pas être en mesure de totalement comprendre... Et pour moi, ce n'était pas forcément mal. Juste pour moi. Et puis, il a changé d'avis. Il est venu me voir en m'ordonnant d'aller la frapper dès qu'il me le disait et que si j'avais l'audace de me dresser contre lui, les coups, c'était moi qui allait les prendre. Et directement de sa part. Alors évidemment, j'ai obéi. Et pendant plusieurs années, j'allais frapper Scarlett, à contre-cœur certes, mais je le faisais. Pour satisfaire cet homme qui n'était que vices et qui incarnait la méchanceté. Cet homme qui, de fait, n'avait qu'à peine le droit de se donner le titre de géniteur. Et si aujourd'hui, je porte encore son nom, c'est aussi pour me rappeler les atrocités que certains humains sont capables de faire sur ceux qu'ils côtoient. Je dirais que... Le seul point positif que je dois à cet homme, c'est qu'il m'a permis de découvrir mes pouvoirs et de tout déclencher. Enfin, ce n'était pas lui directement... Mais bref. J'avais douze ans à cette époque-là. Je crois que c'est la seule fois où je me suis permis de lui désobéir. Où j'ai eu la force nécessaire pour le faire. Je me trouvais seul avec lui, dans sa chambre, alors qu'il m'ordonnait une fois de plus d'aller donner quelques coups à sa belle-fille. Mais j'en avais marre, je n'en pouvais plus. Devoir supporter ses ordres et les exécuter sans même avoir le droit de sourciller, c'était insoutenable. Encore plus quand c'était pour frapper quelqu'un qu'on connaît bien. Il commençait à hausser le ton, me disant de répéter encore et encore mon refus. Il voulait être certain d'avoir bien entendu. Et moi, je commençais à avoir réellement peur. Il y avait un peut couteau qui se trouvait sur sa table de chevet et... De toute mes forces, j'ai songé que j'aurais aimé l'avoir dans mes mains pour pouvoir blesser mon géniteur. De toutes mes forces, vraiment. Et c'est là que le miracle s'est produit. L'objet a volé dans les airs et sans aucune hésitation, il est allé se poser dans ma main droite. J'ai refermé ma prise et j'ai menacé mon géniteur avec cette arme. Il n'en revenait pas qu'on en soit arrivé là et il me demandait plus ou moins sagement de poser cet objet à terre pour qu'on puisse s'expliquer entre "hommes"... J'ai une nouvelle fois refusé... J'étais quasiment tétanisé face à son regard à la fois neutre, implacable et teinté d'une légère pointe de mépris et d'indifférence. Si je lâche cette arme, je suis fichu et je le sais. Alors dans un dernier mouvement de survis, j'ai arrêté de le point et je me suis mis à courir jusque dans ma chambre, fermant la porte à double-tour... Ce jour-là, c'est la dernier fois que j'ai vu mon père, ma belle-mère, Scarlett et cette maison... Et moi, je venais de comprendre avec stupeur que je n'étais pas totalement comme les autres... Voire pas du tout, à vrai dire.

Pour je ne sais plus quelle raison, je m'étais retrouvé seul dans notre maison. Dans les faits, il n'y avait plus trop à s'inquiéter. Rester seul un après-midi, ce n'était pas la première fois que ça m'arrivait. Mais cette fois-ci, ce fut nettement plus différent. J'étais occupé à faire autre chose lorsqu'un inconnu est venu toquer à la porte. Je sais qu'une des règles de base, c'est de ne jamais ouvrir à un inconnu... Mais le truc avec lui, c'est qu'il s'était présenté comme un membre de la famille. Un frère de mon père avec qui il voulait reparler après avoir coupé tous contacts. J'avais beau me dire que cette histoire semblait tirée par les cheveux, j'ai quand même tenté le coup. Je lui ai ouvert la porte et je suis sorti à ses côtés... Chose que je n'aurais peut-être pas dû faire, finalement. Dès que nous nous sommes éloignés, il s'est transformé en monstre que je connaîtrai plus tard sous le nom de furie. Je n'ai pas réfléchi bien longtemps avant de prendre mes jambes à mon cou et de m'enfuir le plus rapidement possible. A l'époque, j'ignorais encore ce que ce type de créature pouvait bien me vouloir. Et sur le coup, c'était loin d'être ma première préoccupation. Je ne pensais qu'à partir loin d'ici... Seul face à ce monstre, il était évident que je n'avais aucune chance. Mais fuir pour aller où ? S'il m'avait trouvé chez moi, il y avait peu de chances pour que je sois réellement en sécurité quelque part. Et c'est là que cette autre personne est apparue. Elle ne venait pas de nulle part mais c'était presque ça. Il est sorti du coin d'une rue en me conseillant fortement de le suivre. J'aurais aussi pu douter de lui mais en même temps, c'était potentiellement la seule chance que j'avais de rester en vie alors je ne me suis pas fait prier. Je l'ai suivi sans perdre le rythme et il m'a mené jusqu'à la colonie des sang-mêlés. Il m'a tout expliqué. Il m'a dit qu'il était un satyre ; les vrais de la mythologie, et que j'avais été pris en chasse par cette créature parce que je suis le fils d'un dieu ou plutôt d'une déesse étant donné que j'ai vécu avec mon père. Cependant, ils n'avaient aucune certitude quant à son identité... J'ai dû attendre environ deux jours avant que ma mère ne se décide pour me reconnaître officiellement. En effet, j'ai compris que j'étais le fils d'Athéna lorsqu'une chouette est venue se poser sur mon épaule. C'était assez invraisemblable... Moi, le fils d'une telle déesse, aussi connue... Alors que je n'avais eu le droit qu'à une vie de misère... C'était illogique. Et pourtant... C'était un fait irrévocable. Bien que ça reste assez dur à admettre, il faut l'avouer... Fils d'Athéna... Ça pourrait relever d'une fiction ou d'une mauvaise blague, la cas échéant.

Et puis, les années ont passé, à l'intérieur du camp. Acceptant plus ou moins bien mon statue de demi-dieux, j'ai découvert mes pouvoirs, j'ai continué à m'entraîner, à accomplir des quêtes avec les autres du camp... Et tout ce temps, j'ai attendu un autre signe de ma mère. N'importe lequel. Un autre message quelconque ou même une visite de sa part. Qu'elle me dise des mots que j'ai attendu toute mon enfance, qu'elle me dise que désormais, elle allait veiller sur moi. Que je n'aurais plus à supporter d'autres personnes comme mon père... Mais non. Il ne s'est jamais rien produit de tout cela. Elle n'est jamais venue me rassurer. Pas même dans mes rêves. Il faut dire qu'elle était sans doute trop occupée, en tant que déesse de la sagesse, de la guerre et compagnie... Elle avait sans doute d'autres chats à fouetter... Oui. Quelque chose de plus important à gérer que sa propre famille. C'était horrible de se sentir délaissé. Et plus le temps passait, moins je me sentais à l'aise parmi les autres demi-dieux de la colonie. J'avais l'impression qu'il me manquait quelque chose de cruellement important. Je ne savais pas quoi mais c'était comme une sorte de certitude. Quelque chose qui faisait que je n'avais pas réellement ma place parmi eux. Alors forcément, quand Cronos a débarqué dans les rêves de certains, c'est apparu pour moi comme étant une évidence. Me joindre à lui pour renverser les Olympiens, ça me semblait être la meilleure chose à faire. Et d'un autre côté, ça me permettrait aussi d'enfin rencontrer ma mère et de lui faire payer sa quasi' ignorance à mon égard. Lui faire comprendre que moi aussi, j'aurais eu le droit à un peu plus d'attention de sa part. Le lui dire en face... Avant d'accomplir ma vengeance. Je n'ai donc pas hésité à suivre Luke qui était déjà parti. J'ai seulement saisi quelques affaires que j'avais laissé au bungalow, je me suis armé d'une lance en bronze céleste, je me suis dégoté un carnet un peu spécial qui avait la capacité de noter automatiquement les plans auxquels je pouvais penser. Et j'ai définitivement quitté la colonie. Qu'importe, je n'avais pas spécialement d'attache parmi eux. C'est donc sans aucun regret que j'ai rejoint les Partisans seulement quelques semaines après leur apparition. Là-bas, il y avait beaucoup plus de gens avec des pensées qui se rapprochaient des miennes. Je m'y suis senti beaucoup mieux dès le départ. Nous étions tous bien plus libres, dans nos choix, dans notre façon de faire... Bref, un bon moyen de s'affranchir de l'autorité des Olympiens tout en leur prouvant qu'on vaut autant que les autres, si ce n'est pas plus que certains !

Les années ont continué à défiler... J'ai fait plusieurs batailles aux côtés de mon nouveau camp. J'ai combattu pour eux à de nombreuses reprises et j'en étais fier. Je pouvais enfin m'illustrer et je ne m'en privais pas. Sauf pour la bataille de Manhattan... Celle qui s'est déroulée en 2012. Étrangement, je n'en avais pas envie. Enfin, pour être plus clair, je n'y ai pas participé en tant que combattant. Moi, j'étais plutôt le mec qui donnait son avis dans les stratégies. J'aidais comme je pouvais à ce niveau-là même si je me doutais que c'était plus ou moins peine perdue. Je voulais faire mon maximum pour la cause qui était la mienne et pour mes compagnons d'armes. Leur montrer que quoi qu'il arrive, je restais à leurs côtés, coûte que coûte. Même si cette nous avons perdu cette bataille et Cronos, par la même occasion. Mais nous ne sommes pas restés bien longtemps sans un Dieu pour nous guider. A peine un mois plus tard, ce fut Gaïa qui nous pris sous ses ailes pour nous guider. C'était notre nouveau Dieu protecteur. Il y eut ensuite la bataille de Los Angeles... Puis, il y eut un autre tournant dans nos histoires... La prise des camps. Cette fois-ci, il s'agit d'un événement qui s'est tourné en notre faveur. Mais pour ma part, j'ai préféré éviter de trop me faire remarquer. Je n'allais pas au devant des prisonniers, préférant largement rester dans l'ombre le temps que les choses se tassent un peu. Après tout, mes cibles, ce n'était pas spécialement les grecs... Je m'en foutais plus ou moins, d'eux. Alors je les laissais principalement moisir dans leurs cellules, sans les aider mais sans les embêter spécialement non plus. Moi, j'en voulais surtout aux Dieux de l'Olympe, pas nécessairement aux autres. J'ai donc simplement attendu que la libération des camps arrive... A la suite de cela, j'ai repris le chemin vers le camp des Partisans, pas plus traumatisé que ça par les derniers événements. Mon père me forçait à battre sa belle-fille alors honnêtement, je pouvais supporter ce qui s'est passé. Ce n'était pas au-dessus de mes capacités. Surtout qu'en janvier 2015, certains Dieux anciennement Olympiens avaient décidé de se joindre à notre cause et ça, c'était une aide non-négligeable. Des Dieux relativement importants tels qu'Hadès et Perséphone... De quoi nous donner toujours un peu plus d'espoir pour la suite. En plus de ça, en tant que Partisan, nous avions l'avantage de pouvoir nous balader librement parmi les différentes villes américaines, sans prendre le risque de nous faire attaquer par un éventuel monstre parce que ces derniers nous avaient rejoint. Franchement, c'était très agréable de pouvoir circuler sans avoir à rester constamment sur ses gardes. Je pouvais me fondre dans la masse, discuter avec les mortels... J'ai même songé à retourner chez mon géniteur, lui faire une petite visite... Mais j'ai rapidement renoncé à cette idée. Un être comme lui ne méritait pas que je perde du temps à aller le voir. Pour moi, il n'était plus rien depuis bien longtemps. Et c'était très bien que ce soit comme ça.

Je profitais donc d'une vie relativement tranquille et paisible alors que les romains et les grecs se débattaient avec la malédiction que ma chère mère divine leur avait infligés avec une grande gentillesse. Je ne tenais pas à me mêler de leur petite guerre. Et puis, pour une fois qu'une action de ma mère me rendait service... Je n'allais certainement pas tout gâcher. Surtout que ça ne me concernait pas étant donné que je ne connaissais quasiment pas de romains et que les grecs de la colonie n'avaient plus aucune importance à mes yeux... Moi, je menais ma petite vie. Les gens ne faisant que rarement le lien entre mon père et moi-même, j'étais plutôt tranquille de ce point de vue là. Personne pour me demander où j'étais passé pendant tout ce temps, etc... En somme, j'avais réellement la belle vie. Plus que si j'étais resté à la colonie, selon moi. Mais évidemment, toutes les bonnes choses ont toujours une fin. C'est systématique. Et là, ce fut quand nous avons ouvert les yeux au sujet de Gaïa. Elle nous avait menti et voulait tout simplement pouvoir diriger toutes les créatures vivantes en éradiquant tous les demi-dieux existant. Qu'on soit ou non pour renverser les Olympiens... Elle ne faisait aucune distinction à ce sujet. Sauf que nous ne souhaitions pas ça. Ce n'était pas en accord avec nos idéaux. Nous ne voulions pas voir la fin de notre monde actuel. Il n'était pas parfait, c'est un fait. Mais de là à vouloir sa destruction complète... Non. C'est après une nouvelle bataille contre les grecs et les romains en août 2015 que nous avons finalement créé une alliance et que nous nous sommes rebellés contre Gaïa. Et nous avons réussi à la renverser. A la suite de cet événement, nous avons tous décidé d'abandonner tout ce qui nous raccrochait encore à la Terre Mère. A commencer par notre nom. Des Partisans de Gaïa, nous sommes passés aux Insurgés. L'ancien nom faisant un peu trop fanatique sur les bords et représentant bien mal notre façon de penser. Et aujourd'hui, notre nouveaux Dieu protecteur, Ouranos, représente bien mieux nos différentes valeurs et notre véritable objectif qui ne vise que les Olympiens. Lui ainsi que notre Général de l'Armée, Abaddon. Et même si, aux vues de nos expériences passées, je me méfie encore de notre nouveau père spirituel, il y a encore une infime part de ma personne qui a envie de croire à ce nouvel avenir. Qui sait, après tout ? Nous ne sommes pas à l'abri d'une potentielle bonne surprise. Comme d'une mauvaise, d'ailleurs. Mais tentons malgré tout de rester positif, on ne sait jamais !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Armokinésie. ⊱ C'est assez simple, en fait. Cette capacité peut m'être très utile puisqu'elle me permet de pouvoir contrôler une arme par la simple force de la pensée. C'est pratique sur un champ de bataille, par exemple. Pour récupérer une arme si j'en manque, etc... On ne sait jamais. Cela dit, plus l'arme soulevée est lourde, plus ma fatigue est rapide, intense et plus je mets du temps à m'en remettre. Si j'en fais une trop grande utilisation rapprochée, même sur des petites armes, j'obtiens le même résultat. Dans les faits, je me contente donc de récupérer une arme à la fois et il s'agit généralement d'objets comme des lances, des dagues, parfois des épées...

Détection des points faibles. ⊱ Le nom parle plus ou moins par lui-même, pour être honnête. Je suis donc capable de détecter les points faibles des autres... Pratique pour établir une stratégie face à des adversaires que j'ai déjà rencontré. Par contre, les faiblesses ne me sont pas communiquées directement avec les mots ou des images concrètes, je n'ai pas la solution comme ça, tout de suite, d'un simple battement des cils. C'est un peu plus compliqué. A chaque fois, ça vient plutôt par des choses un peu plus abstraites et floues. Comme des sensations, des impressions, des sentiments, des odeurs, etc... Autant dire qu'il arrive parfois que ça ne soit clairement pas agréable. De plus, il faut savoir que c'est une capacité que je ne contrôle absolument pas et c'est ça qui peut parfois s'avérer gênant. Un ressenti peut très bien arriver comme ça, sans prévenir et sans que je ne l'ai désiré. Certes, comme ça, ça n'a l'air de rien... Mais dans certains cas, on se passerait bien de ressentir certaines choses...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]⊱ PRÉNOM : Julie. ⊱ PSEUDO : Certains ici me connaissent sous le pseudo de Dagouillette, il me semble. ⊱ AGE : Je vais sur mes 17 ans. o/ ⊱ CÉLÉBRITÉ : David Giuntoli. ⊱ CODE DU RÈGLEMENT : Ok by Anna ⊱ QUE PENSES-TU DU FORUM ? J'aime pas, qui a fait le header d'ailleurs ? Il est absolument atroce ! ⊱ OU AS-TU CONNU PJRPG ? La faute d'une gueuse. Scarlett/Liana/Perséphone, pour ne pas la nommer ! ⊱ BESOIN D'UN PARRAIN OU D'UNE MARRAINE ? Je pense que ça ira, merci ! ⊱ FRÉQUENCE DE CONNEXION : Au moins une fois par jour. ⊱ INVENTE OU SCÉNARIO ? Inventé. ⊱ DERNIER MOT : Bla.

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