Kaedan, le p'tit frère de McGyver (terminé)

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Il y a des jours plus ou moins importants, mais je pense que le plus important de tous et celui de votre naissance, non ? Bah pour moi, c'est le 8 août 1994. Sauf que je suis naît juste après mon sosie au féminin. Et oui, les cigognes n'avaient pas envoyées un, mais deux paquets devant la porte. Ok, j'arrête avec mes métaphores merdiques. Pourtant, elles sont cool, non ? Oh, ça va, j'y peus rien si je suis un peu hyperactif sur les bords. Faut dire ce n’est pas vraiment ma faute. Si j'avais pas eu le père que j'ai, j'aurais été totalement différent. Comme tout le monde... So ! J'avais une grande sœur. Une sœur, parce que ce n’était pas parce qu'elle avait deux minutes de plus que moi qu'elle était plus grande que moi. J'adorais ma sœur. On était toujours ensemble, on se complétait, on jouait ensemble. Bref, on était inséparable. Et même quand on nous séparait, on trouvait un moyen de se parler, de se voir. On avait les mêmes délires, on était tous les deux casse-cou. Shay et Kaedan contre le monde entier. On voulait toujours faire de nouvelles expériences, dépasser nos limites. Tous les bons moments qu'on a passés... Et la venue d'un petit frère, Ben, n'a fait que m'apporter plus de joie. Je m'amusais à lui montrer tout ce que j'avais appris. J'étais prêt à tout pour les voir sourire.

Au début, on pouvait dire que notre famille était idéale. Certes, on n’avait pas de père, mais à trois ans, on ne se rendait pas forcément compte de l’importance d’un homme dans la famille. Il n’empêche que maman nous adorait et que nous avons passé des moments merveilleux. Puis un jour, elle nous a présenté notre père : Jeffrey Norrington. Ni Shay, ni moi avons vraiment était ravie. Notre père ? Et il était où quand on a appris à perler ? Et à marcher ? Et quand Ben est né ? Et il arrivait, plusieurs années plus tard en prétendant être notre père ? C’était louche, mais bon, si ça se trouve, il n’avait rien à faire de nous et revenait juste pour maman. Je n’étais qu’un enfant à ce moment-là, et les problèmes d’adulte et ben j’y comprenais rien. Mais on ne pouvait pas dire que j’adorais celui qui se faisait passé pour mon père, même si maintenant on était devenu une parfaite petite famille.

Jeffrey était banquier et maman artiste et s’occupait de l’entreprise familiale : la carrosserie. Avec Shay et Ben, on adorait aller avec maman, toucher à tout, revenir avec les mains plein de cambouis, s’amuser avec les pièces de voiture, toucher aux boutons,… Au milieu de tous ces bouts de ferrailles, on était dans notre élément. Et c’est encore notre passion, même si maintenant je bricole la clope au bec et que j’ai pris quelques centimètres. Là-bas, on bricolait des petits objets, on essayait d’aider maman à réparer les voitures. C’était juste trop génial, être là-bas, planplan, en train de réfléchir à comment faire tel objet, comment réparer tel autre.

Tout semblait parfait, on était heureux, tous ensemble, comme une vrai famille. Sauf que maman est morte d’une maladie. Nous, on l’ignorait jusqu’à ce qu’elle meure. Autant le dire, je lui en ai voulu de nous avoir caché ça. Elle n’était pas obligée de tout porter toute seul bordel ! Je ne comprends toujours pas pourquoi elle nous a caché sa maladie. Enfin, c’est à partir de ce moment que notre vie s’est effondrée. Papa ne s’est jamais remis de sa mort. Il sombra dans l’alcoolisme, nous laissant seul. A 6 ans, j’étais devenu l’homme de notre petite famille, Jeffrey ne comptant plus vraiment. J’ai été obligé de grandir plus vite que les autres, de devenir plus mature. Je prenais mon rôle à cœur, essayant d’être toujours là pour Shay et Ben, les protégeant du mieux que je pouvais. Mais j’avais que six ans, putain ! Comment j’étais censé faire ? Si Shay et moi s’étions fait une raison, Ben, lui avait besoin d’une personne maternelle, d’un adulte. Ainsi, grand-mère s’occupait de nous. Mais ce n’est pas pour autant que tout s’arrangeait. Jeffrey devenait colérique. Tant que ça ne dépassait pas les paroles, ça allait encore, mais le jour où il s’est mis à me taper, grand-mère a décidé de nous faire placer. Sauf que c’est rare une famille qui veut bien adopter 3 enfants. Alors on est allé de famille en famille, de foyer en foyer. La seule chose qui était sûre, c’était qu’on ne se séparerait pas.
Heureusement, une famille accepta : Dean et Cindy. Ils ne pouvaient pas avoir d’enfants, alors ils avaient décidé d’en adopter et c’était tombé sur nous. Même si c’était bizarre d’être adopté, que ça ne remplacerait jamais vraiment nos parents, Dean et Cindy était gentils avec nous. Ils voulaient combler nos moindres besoins, se comportaient comme de vrai parents. Et puis, on voyait toujours grand-mère puisqu’on habitait toujours aux environs de Boston. On était donc content de notre nouvelle vie.

Mais il y eut ce fameux jour. On rentrait de l’école, comme d’habitude, en prenant le même trajet que d’habitude. Sauf qu’une espèce de chose monstrueuse est apparu devant nous. Et c’était pas le monstre de l’île aux enfants, non, c’était un vrai monstre. Autant dire qu’on a pas demander notre reste et qu’on est parti en courant jusqu’à un parc qui se trouvait dans les environs. Une fois arrêté, on échangea un regard, n’en croyant pas nos yeux. C’était pas tous les jours qu’on se faisait attaquer par Chewbaca et 3000 fois plus monstrueux.

Sauf qu’on était pas tout seul dans le parc. Un autre enfant avait décidé de venir s’amuser. Il se dirigea vers nous en nous souriant. J’avais même pas besoin de regarder ma sœur pour savoir ce qu’elle pensait de lui. De toute façon, on n’avait pas besoin de se parler pour se comprendre. Elle ne l’aimait pas, c’était couru d’avance. Mais de toute façon, Shay n’aimait pas les gens qui arrivaient et qui voulaient faire copain-copain avec elle. Mais moi, j’avais envie de trouver un ami. Ok, Shay était toujours là, mais j’sais pas, j’aimais bien avoir d’autres potes que ma sœur et mon frère. Bref, je prit la parole avant qu’elle le rembarre. On apprit qu’il habitait juste à côté. C’était juste trop génial ! Je me mis à discuter avec lui de chose et d’autre sans me rendre compte que Shay était partie se promener dans le parc. Par contre je l’entendis très bien crier et me précipitais vers elle, lorsqu’elle nous pris, moi et l’autre garçon qui s’appelait Mark, et nous obligea à courir. J’y comprenais rien, mais je voyais bien qu’elle était terrorisée et suivit le pas sans demander d’explications. Au cris de Mark, je ne fi que redoubler d’effort pour courir encore plus vite. D’un autre côté, j’avais bien envie de voir à quoi il ressemblait ce chat si monstrueux. Mais bon, niveau monstre, j’avais déjà donné. Enfin, on s’arrêta et on se regarda, se demandant ce qui s’était passé. Même si Shay et Mark avait des doutes, j’étais persuadé que c’était qu’un chat. Un peu gros et bizarre, mais un chat tout de même. Une fois qu’on fut d’accord sur l’identité de l’animal, on reparti chez nous. Et cette nuit nous a lié d’amitié avec Mark.

Les jours passaient, les uns comme les autres. Ben adora aussitôt Mark, et Shay se mis à l’apprécier. Comme quoi tout n’était jamais perdu. On était les meilleurs amis du monde, on faisait les 400 coups. Bientôt, un autre garçon vient agrandir notre groupe : Erwan. Et ô chose surprenante, Shay ne se mit pas à le haïr. Au contraire, elle semblait être bien avec lui. Tiens tiens, notre Shay adoré se sociabilise… Un jour, on alla jouer dans une vieille usine qui était devenue notre repère. Enfin, on voulut aller jouer à l’usine parce qu’en chemin, devinez sur qui on est tombé : le fameux chat. Sauf que Shay et Mark avaient raison, c’était pas vraiment un chat, c’était… c’était bien pire que ça. Et Erwan qui paniquait et nous ordonnait de nous dépêcher n’arrangeait rien. Mais il était vraiment paniqué alors on décida de l’écouter d’un commun d’accord. Il valait mieux flipper pour rien que finir mort. Alors on suivait Erwan. On était en train de fuir je ne sais quoi pour sauver notre peau, mais jusque là, ça allait encore, ça pourrait arriver à tout le monde, ou presque. Ce n’est que lorsque Shay me montra les sabots d’Erwan que je me dis que c’était peut-être pas si normal que ça. Notre pote avait des sabots, quoi ! Et pire, il faisait comme si c’était parfaitement normal. J’avais juste envie de lui dire « arrête ton charre et enlève tes sabots ». Parce que ça pouvait pas être des vrais. Mais il continua son délire en nous disant qu’on était des demi-dieux et que c’était pour ça que le monstre nous poursuivait. Ok, on nageait en plein délire. En plus, là je me sentais paniqué, terrifié, perdu, mais pas divin du tout. Pourtant, j’avais envie de le croire. Parce que ça expliquerait bien des choses, comme Jeffrey. Normal qu’on avait pas l’impression que c’était notre père, si ce l’était pas. Mais Shay, elle, était carrément folle de rage. J’vous jure, si je l’avais pas décroché d’Erwan, je donnais pas cher de sa peau. On était en pleine dispute lorsqu’une voix résonna dans ma tête : « Prenez sur votre droite, la deuxième porte et ouvrez le coffre. Soyez forts, mes enfants. ». Ok, en plus j’avais des hallucinations, trop cool ! Sauf que si c’était le cas, on avait tous les mêmes hallucinations. On échangea un regard. Franchement, j’hésitais à ouvrir ce coffre. Mais Ben, lui, écouta la voix et prit la direction indiqué. Après un échange de regard, on décida de le suivre et on se retrouva devant un coffre qui contenait des armes. J’avais hérité de poings américains, plutôt balèze comme objet, et… d’un collier en forme d’hache ? Merci p’pa, tu sais, j’suis pas une fille. Mais bon, c’était toujours un objet qui venait de mon père. Je le mis et le tripotais machinalement lorsque j’appuyais sur les deux extrémités coupantes de la hache et me retrouvais… avec une vrai hache entre les mains. Ouaouh ! C’était trop génial ! Cependant, notre joie fut de courte durée, rappelé à l’ordre par Erwan qui nous obligea à nous dépêcher. Sauf qu’on croisa devinez-qui ? La jolie petite bestiole qui était à notre poursuite. Et qui ne s’attendait vraiment pas à ce qu’un groupe de gosse en furie lui saute dessus. Sauf, évidemment, que c’est moi qui ai bondit le premier vers la bête qui me renversa. En fait, je ne dus ma vie qu’au cris que Shay poussa. Puis tout le groupe suivit et se mit à taper la bête qui finit par s’effondrée, assommée par nos coups. On était tous mal en point, mais Mark réussit à nous soigner grâce à son pouvoir –c’est cool d’être fils d’Apollon- mais il n’arrivait pas à se soigner lui-même. On arriva au portail comme une bonne équipe de bras cassé, Erwan toujours affolé à l’idée qu’on puisse se faire rattraper par un monstre, Ben complétement joyeux à l’idée d’être un demi-dieu, moi encore sonné d’avoir failli me faire tuer et Shay qui portait Mark sur son dos. Vive nos premier pas à la colonie…

On dut pratiquement tout de suite reconnu par notre père, Héphaïstos, alors que Mark, lui, était reconnu par Apollon. Rapidement, la colonie devint notre seconde maison. On s’est fait plein d’ami, même Shay comme quoi elle pas si associable que ça, on a appris à se battre, on fait je ne sais combien de parties de capture l’étendard, je me suis éclater avec tous mes demi-frères à construire plein de machines trop chouette. Bref, on coulait des jours heureuse jusqu’à la guerre avec Cronos. Même si papa n’avait pas toujours été là – et c’était un euphémisme – j’étais à 100% avec les Olympiens. Et Ben est mort. Partit, envolé lors de cette guerre. J’en voudrais toujours aux partisans pour ce qu’ils ont fait. Shay, elle, ne pensait qu’à une seule chose venger notre frère. C’est pourquoi elle décida d’intégrer les partisans en tant qu’espionne. Putain, elle pouvait pas faire ça ! J’avais déjà pas été capable de protéger Ben, mais si elle va avec les partisans, je pourrais jamais l’aider ! Catégorique, elle ne m’écouta pas.

C’était assez dur d’avoir perdu Ben, maintenant Shay m’avait quitté. Elle était dans l’autre camp et chaque fois que j’allais faire quelque chose contre les partisans, j’appréhendais. Serait-elle là ? Devrons-nous s’affronter ? Ma seule consolation était de savoir qu’elle n’était pas vraiment avec eux. Mais elle était bien maigre, cette consolation. Surtout lorsque les camps furent fait prisonnier et moi avec. On avait été envahi de partisan. Infesté. Ils avaient pris la colonie de l’intérieur et maintenant, j’étais obligé de voir leur putain de mines réjouit. J’avais qu’une seule envie, leur cracher au visage. Leur dire « Eh, les mecs, redescendaient de votre nuage, bientôt, très bientôt, vous paierez tout ce que vous nous faite subir. ». Je suis impulsif, mais pas con. Ça sert à rien de se rebeller maintenant. Autant faire semblant de marcher droit. Alors je baisse la tête. Et quand je vois ma sœur, je la baisse encore plus. Parce que je veux pas la trahir. Lui faire u sourire de réconfort qui pourrait montrer qu’elle n’est pas vraiment dans leur camp. Au moins, je me dis qu’elle n’est pas traité comme nous.

Puis, j’ai appris qu’elle à participé à une opération qui à foirée. Elle a été démasquée. Et emprisonnée. L’a-t-on torturé ? Va-t-elle bien ? Mal ? Je ne sais pas. Elle est dans les cellules et moi, je suis incapable de l’aider. ‘Tain, Shay, j’espère que tu t’en sors…

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Ici tu devras décrire tes pouvoirs si tu en as et les détailler. Nous demandons un pouvoir pour les enfants des dieux mineurs, deux pour les olympiens, trois pour les Mars et quatre pour les enfants des Trois Grands.
Compréhension intuitive : Quand je me retrouve en face d’une machine, ou que je veux en fabriquer une, j’ai pas vraiment besoin de me tourner les méninges pendant trente-six mille ans. Je sais ce qu’il faut faire. Enfin, que quand je me concentre, mais c’est l’idée. Mais ce n’est pas si simple que ça, il faut tout de même un certain temp et un minimum de patience. Cependant, c’est franchement pratique, surtout pour un fils d’Héphaïstos.

Mimétisme métallique : Comme Shay, je suis capable de transformer une partie de mon corp en métal. Pour cela, rien de plus simple, il suffit d’un bout de métal et d’un max de concentration. C’est pourquoi je décidais d’adopter la technique de ma sœur qui consiste à toujours garder un bout de métal sur lui. Cependant, je ne maitrise pas encore tout à fait ce pouvoir et quand j’arrive à transformer une partie de son corps en métal, je ressors avec une migraine.

Boum-boum-boum. Oh la ferme! Boum-boum-boum. Mais merde à la fin ! C’est qui l’imbécile qui a décidé de me pourrir mon sommeil ! J’ouvre un œil, puis l’autre. Un type est en train de prendre un malin plaisir à taper sur la porte métallique. Un partisan. Et je sens que je ferais mieux de me lever, sinon j’allais encore passer un mauvais quart d’heure. Putain d’partisans à la noix. Les yeux encore tout gonflé de sommeil, je me redressais doucement et passais une main dans mes cheveux histoire de vérifier qu’ils étaient bien ébouriffaient. Pas d’problème de ce côté-là. J’voulais pas être le premier à me lever, juste histoire de dire que j’étais pas un faux-cul, alors j’attendis qu’un autre type ait le courage de se bouger. Allez, direction l’endroit où ils nous servaient leur bouffe infâme. Ok, j’avais faim, mais j’avais envie de manger un truc normal, pas une espèce de bouillasse faite avec je ne sais quoi. On était aux Etats-Unis ! Y avait des droits pour les prisonniers, non ? Bah pas pour les partisans. Droite, gauche, droite gauche…. Machinalement, je marchais vers le réfectoire, m’assayais à la place habituelle et mangeais cette chose indéterminé en pensant que c’était un bon steak frite. Miam miam, manquait plus que le ketchup. Mais on allait pas abuser de la gentillesse des partisans. Non, ce serait vraiment trop bête.

Le repas terminé, je me dirigeai vers les forges. On n’était pas beaucoup d’enfants d’Héphaïstos, alors ils nous exploitaient jusqu’à ce qu’on ne tienne plus debout. A l’origine, je surkiffe bricoler, mais pas pour eux, pas dans ces conditions. Sauf qu’on a pas le choix. Alors on bosse. On construit telle machine, telle autre, on va même faire les réparations dans les appartements de môsieurs les partisans. Je me tournais vers un partisan et demandais :

-Alors, c’est quoi l’programme ?

Sans me répondre, il me tendit des plans et parti comme ça, sans une explication. C’est ça casse toi, et la politesse, c’est pour les chiens ? Ca t’tuerais de dire un « s’te plait » ? Faut croire que oui. Je regardais l’endroit où nous étions, désespéré. Quand on avait fini, on avait même pas la force de ranger. Résultat, c’était un vrai bordel où on ne pouvait rien trouver. Me tournant vers les autres, je dis avec un air contrit :

-Bon les gars, on a une nouvelle commande sur les bras !

Personne n’était ravi d’être là, mais on n’avait pas le choix. On savait tous ce qu’on risquait si on n’obéissait pas. Et puis, quand on commençait un truc, on le faisait jusqu’au bout. Même si on ne pouvait pas saquer nos « commanditaire ». Alors on bossait, on bossait et on bossait. Pire que des bœufs, j’vous jure. Le seul avantage, c’était que quand je travaillais, je pensais à rien d’autre. Juste à la façon de faire tel objet. On travaillait sans parler. On n’en avait pas besoin, mais on n’en avait surtout pas le droit. A la pensée que j’étais parqué, sans aucune liberté, mes mains se crispèrent. Non Kaedan. N’agis pas, pas tout de suite. Attend, attend le bon moment. Tu l’sais que ça vaut pas la peine. Attend ton heure pour faire le max de dégâts. M’essuyant mon front dégoulinant de sueur, je me dis que j’irais bien m’en griller une. Mais les cigarettes étaient un luxe que les prisonniers ne pouvaient pas se permettent d’avoir. Bah tiens, pourquoi donner une gauloise à des bêtes ? Bouffons !