Peter Andrew

Obligatoire pour les personnages vacants et facultatif pour les autres (Minimum 300 mots) Il faisait froid en ce début d'hiver, je me tenais prêt de l'entraîner de l'infirmerie observant ce qui se passait alentour. Je portai mes survêtements de sport, revenant de mon jogging matinal. J'avais envie de chasser ce matin la course m'avait échauffer et la forêt et le vent glacé m'appelait comme une symphonie muette que seul moi pouvait entendre. Je me dirigeais vers un endroit dégagé pour me transformer. Une fois transformée, je commence à flairer le sol alentour à la recherche de piste. Je venais de flairer un lapin, peut-être deux. Je me mis en chasse en m'élançant à travers cette forêt de pins à la recherche de ma proie et au détour d'un arbre je sentais que je me rapprochais. Je gagnais du chemin sur le lapin mais, il avait l'air de m'avoir senti aussi, j'accélérais la cadence jusqu'à l'apercevoir filant vers son terrier, m'arrêtant juste en face du terrier grognant pour le faire sortir mais rien, je n'allais pas rester là dans le froid juste pour manger un morceau de lapins, je m'en retournais à d'autres proies plus alléchante. Je m'avançais allant au pas à travers la forêt pour trouver quelque chose d'autre à manger. Je venais de flairer un cerf, je m'élançais sur ses traces, la bête semblait accélérer elle aussi comme si elle m'avait vu arriver. Je continuais d'aller de plus en vite une fougue naturelle commençait à donner de l'énergie à mon corps cette même fougue qui se manifestait à chaque fois que je chassai. Il fallait que j'attrape cette créature, mais ma fougue m'avait emportée loin dans la forêt,je m'arrête devant un ruisseau, le cerf pensait peut-être avoir détruit son odeur mais, ses emprunte dans le sol boueux de l'autre côté de la rive était toujours visible, je poussais un léger grognement, l'eau était gelée à cette époque même si ce n'était pas pour me déplaire puisque j'adorais le froid mais, un loup n'aime pas être mouillé. J'accélérais une fois sur l'autre rive pour combler mon retard excessif, j'observais le moindre indice, le moindre signe qui pouvait me parler, interpréter la nature c'était mon passe-temps. Je m'élançais à travers les bois, la piste m'étant maintenant clairement définis. Je voulais ce cerf et je l'aurais. Au triple galop je le poursuivais jusqu'à l'apercevoir au loin fendant les branchages avec ses bois pour m'échapper. J'aboyais de toutes mes forces pour lui donner le veine espoir qu'avec les dernières forces qui lui restait il pourrait me distancer. Je passais soudain un branchage lorsqu'une branche m'arriva en pleine tête, je m'écroulais en arrière sur le coup dans les nimbes sous le choc enfin c'est ce que je pensais mais, je me suis réveillé bien plus tard. J'étais dans un état vaporeux, je discernais des voix de femme autour de moi, elle me parlait mais, je n'entendais pas très bien, j'avais très chaud mais, pourquoi j'avais très chaud ? Lorsque je me suis réveillé j'étais dans un grand Bac en bois remplit d'eau chaude avec des femmes toutes plus belles les unes que les autres. C'est ça le paradis des dieux ? Non ... Où est-ce que je suis... Oh non ne me dit pas que... Si c'est bien ce qui m'avait traversé l'esprit: les filles d'Aphrodite, des centaines de questions se posaient dans ma tête comment j'étais arrivé en maillot de bain ! COMMENT ! Je ne préférais pas connaître la réponse, mais bon, autant profiter de cette récompense pendant qu'elle est là !