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WANTED POSTER

■ Wanted PJiens, PJiennes, la traque est lancée autant chez les pro-olympiens, que les insurgés. C'est la guerre, il n'y a plus de limite en terme d'horreurs. Voici les récompenses capture.
□ Pour les divinités supérieurs | 300 PE de base - 500 PE pour la fuite ou la capture définitive. (concerne Ouranos, Zeus, Poséidon et Hadès)
□ Pour les divinités | 300 PE de base - 450 PE pour la fuite ou la capture définitive. (concerne olympiens, astraïens, dieux mineurs, astraïens)
□ Pour les chefs de camp | 300 PE de base - 300 PE pour la fuite ou la capture définitive.
□ chefs de brigade | 250 PE de base - 250 PE pour la fuite ou la capture définitive.
□ Les êtres surnaturels | 250 PE de base - 250 PE pour la fuite ou la capture définitive.
□ Les soldats insurgés, grecs et romains | 200 PE de base - 200 PE pour la fuite ou la capture définitive.
● Nota Bene ●
○ Les parques ont mis fin à l'ascension de Chaos en le renvoyant dans le néant ○ Zeus est de retour sur l'Olympe ○ Ouranos fait appel aux "anciens déchus" d'autres astraiens pour mener la guerre contre les olympiens ○ La "Grande Guerre" est lancée ○
○ Relancement du Wanted; Zeus et Ouranos lance la traque de leurs ennemis ○ Les grecs et les romains sont en désaccord pour la guerre des territoires ○ Les deux camps (grec et romain) sont également en compétition, pour la récompense honorifique ○
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Jay M. Shadow - Oyez oyez, voilà le fils d'Arès, prince de la guerre.

Anonymous





Invité
Invité
Dim 26 Aoû 2012 - 22:53




Shadow
Jay Marcus



• [age] 18 ans
• [parent divin] Arès
• [groupe] Demi-dieu grec
• [armes, objet]Blacksun, épée de lave et de bronze céleste. Mon casque béni par Arès. Il rend invincible.
• [années dans le camp] 9ans
• [pouvoirs] magnétisme et peau impénétrable.
• Ambitieux
• Loyal
• Déterminé
• Impénétrable
• Cruel



Caractéristique ?

Qui suis-je ? C'est une très bonne question. Je suis le pire de vos cauchemars, cet être qui vous torture dans vos rêves, vous rabaisse et vous rend fou. Vous vous dites que je suis le mec le plus stupide et le plus laid au monde ? Mais ce ne sont que des mots. C'est votre façon de me montrer votre haine, votre dégoût, mais personnellement, je me fiche de vos états d'âmes. Je suis un garçon auto-destructeur, je ne veux pas recevoir l'amour des autres, car je ressens une profonde aversion pour ce monde cruel. Je n'éprouve que de la colère et cette envie de tous détruire. Je ne sais pas si mon comportement vient de mon père ou simplement, la conséquence d'une enfance brutale. J'avoue... Que j'en veux à tous le monde, je ne suis qu'un garçon maudit dont la violence m'obsède. Ma place est nul-part, j'erre dans ce camp comme un vampire à la recherche de sang, plus je passe de temps ici et plus mes pulsions m'échappent. J'aimerais que les demi-dieux me détestent autant que je les damne. Je ne ressens aucun regret dans mes pires actions, aucune conscience. Pour ceux qui croient que je suis leur ami... Détrompez-vous, je ne sers que la guerre et le carnage, je n'aime que le combat et la terreur. Vous vous dites que c'est normal pour un fils d'Arès de penser ça, mais vous ne connaissez pas ma mère, si elle ne m'avait pas considérée comme le diable en personne, je ne serais pas un monstre. Elle est responsable de mes tourments, de mes angoisses. Cette femme qui m'a mise au monde, à réussi à me détruire de l’intérieur. Je ne suis qu'un enfant déchiré entre deux parents sans cœur... Mais mon père ne pourra jamais me faire autant de mal qu'elle. Une mère est censé protéger son fils, l'aimer et le chérir... Des mensonges, que des mensonges que les humains débitent. Vous pensez que je suis pas très intelligent et très impulsif, mais vous vous trompez lourdement. De cette manière, je peux mieux berner mes ennemis, j'ai plus d'un tour dans mon sac. Je suis cruel et impitoyable, mon âme est damné par la mort, pourtant, deux personnes ont sut capturer mon cœur. Je n'aurais jamais cru que l'amour fraternel pouvait-être si fort et je le dédie à Alexa, car elle sait comment me calmer et me faire entendre raison. Il y a aussi un autre trait de mon caractère. Les uns pensent que je suis infidèle et les autres s'acharnent à dire que je devrais rester célibataire. Personne ne me porte de l'attention, pourtant j'ai un certain manque d'affection... Un manque d'affection paternel, un manque d'affection féminine. Alors que j'ignore totalement la signification d'affection maternel, je peux confier que je ne peux résister à une fille. J'aime admirer leurs beautés, profiter de leurs douceurs et toucher leurs peaux soyeuses. Il est possible que je tombe amoureux, comme ce coup de foudre que j'ai eu pour Léa. Mais suis-je vraiment en mesure de choisir entre entre le véritable amour et l'amour paternel ? Je ne crois pas.


Description des pouvoirs.


Magnétisme: Il peu commander aux métaux, peu monter et démonter des choses par l'esprit seulement par magnétisme. Et crée des champs magnétiques, Pour l'instant, son pouvoir n'est pas parfait, mais il n'a plus mal à la tête quand il l'utilise. Il peu désormais léviter lui-même sur un surf de métal. Jay a la possibilité de faire bien plus, mais il doit s'entraîner d'avantage.

Peau impénétrable/ Aucune balle, aucun couteau, aucune arme ne peut pénétrer sa peau pour le tuer, ce pouvoir lui sert également à protéger ses os des chutes ou autres.



Qui es-tu ?


Prénom: Tany
Age: 19ans
Célébrité: Francisco L.
Code du règlement: Ok by Poséi'
Que penses-tu du forum: Trop classe.
Comment as-tu trouvé le forum ?: ...
Autres choses ?: Poseidon est un petit poisson.
Votre personnage est un PV ?: Non.









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Anonymous





Invité
Invité
Dim 26 Aoû 2012 - 22:54
Tel père, tel fils" a dit maman.

Aux États-Unis, à Philadelphie vivait une jeune femme magnifique qui se nommait Tasmine. Cette jeune femme n'avait pas une vie facile, son père était un alcoolique et sa mère n'était plus de ce monde. Pour échapper à une vie de boniche, elle fugua. S'échappant dans les ténèbres, elle s'engouffra dans les pires tourments, devenant aussi impitoyable que les hommes. Drogues, alcools, violence... Tasmine se dévoua à un gang de Bikers, les Hells Angels, un gang appartenant au crime organisé. Ma chère mère ne faisait rien au hasard, en mettant les pieds dans cet engrenage, elle venait de signer un pacte avec le diable. Ces gens-là, avaient une certaine doctrine. Les Hells Angels pensaient que l'enfer était sur terre et qu'ils trouveraient le « Salut » par la vitesse et d'échapper à cette vie par la moto et des produits stupéfiants. J'imagine encore aujourd'hui, ma mère vêtu de cuir, roulant sur sa Harley-Davidson, les cheveux aux vents. C'était une femme dangereuse qui cachait un petit revolver entre ses seins, qui touchait à toute sorte de drogue et qui n'avait aucun scrupule. Elle était avec un mec, l'un des bras droit du gang, ce type s'occupait de la marchandise. Il exécutait les hommes qui refusaient de le payer, après leur avoir brisé les jambes. Le type s'appelait Jake, c'était une montagne de muscles avec une horrible cicatrice sur la tronche... J'ai toujours pensé que ma mère avait de sale goût question mec.  

Elle jouissait de son train-train quotidien jusqu'au jour ou son gang a eu une altercation avec un autre gang. Les Son of Terror raflaient la Pennsylvanie avec des airs de supériorité et de puissance. Ce nouveau gang venait juste d'apparaître, il venait et repartait comme un fantôme en laissant des cadavres sur son passage. Le gang de ma mère s'opposa à eux, elle était en ligne de tire comme une chef de guerre, quand le combat commença. On pouvait sentir la poudre des armes à quinze kilomètres, c'était un vrai bain de sang, mais l'homme taciturne semblait apprécier. Celui-ci était extrêmement mystérieux et dangereux. Ma mère me disait que ce grand démon pouvait trancher la gorge de dix hommes en deux secondes et il ne manquait jamais sa cible. Certains ont échappés à la mort, comme Jake... Mais l'homme en noir, ce Biker tout droit sorti des enfers voulait une récompense, les femmes. Les ordres et les réclamations des Son of Terror avait outragés les Hells Angels, mais vaincu, ils cédèrent. Étrangement, il y avait plus de victime dans le gang de ma mère que dans l'autre, maintenant je savais que les Son of Terrors étaient des guerriers revenus du royaume d'Hadès, au service d'Arès. Ce dieu mesquin et cruel ne pouvait s'empêcher de soumettre les gangs à son service, il aimait lire la terreur dans leurs yeux et la souffrance. Tasmine lui appartenait, il l'avait choisi parmi les autres, elle n'était qu'une simple humaine sans intérêt, mais utile pour ses besoins.

Après quelques mois, ma mère c'était habitué à sa présence, cet homme n'était pas qu'une brute, mais cet être tumultueux se montrait également très doux avec la gent féminine. En tant qu'humaine, elle voyait un bel homme brun aux yeux noisettes, une légère cicatrice sur la tempe et elle sentait un aura qui inspirait la peur et la méfiance. Tasmine croyait voir Satan, pourtant elle se laissait séduire. Ce couple sauvage c'était uni pendant une nuit orageuse et neuf mois plus tard, elle accoucha d'un petit garçon. Le dieu de la guerre le nomma lui-même en prétendant qu'il sera à son service dans quelques années. Ce petit être était déjà vigoureux et énergique, cela amusait le dieu, mais celui-ci s'en désintéressa rapidement. Arès s'ennuyait de Tasmine, sans un mot, il l'avait rendu aux siens puis il s'était volatilisé. L'enfant que j'étais, ne comprenait pas la situation, je devais vivre sans mon père. Je grandissais avec sa mère dans une angoisse constance, Jake revenait à la charge en réclamant des doses et en hurlant qu'il me ferait la peau., car il était jaloux et scandaliser qu'elle est pu le tromper. Pendant mes premières années, ma mère passait de la folie à la démence, elle s'isolait dans sa chambre avec ses drogues et ses bouteilles d'alcools, pendant ce temps, je me réfugiais dans un coin sombre avec l'espoir qu'elle ne vienne pas me taper dessus.

L'enfant que j'étais... N'était qu'un goule immonde, maigrichon, petit et peureux. J'entendais les cris de ma mère saoule qui disaient, « Petit vaurien... Tu es comme ton père, un monstre ! Je vais te dresser, tu vas voir. » Le pire dans tout ça, c'était qu'elle aimait le répéter dix fois dans la journée... Elle pensait que Satan l'avait enfanté et que j'étais l'incarnation du mal et elle se maudissait elle-même d'avoir cédé à la tentation du démon. Moi, je ne pensais qu'à raser les mûrs en espérant ne pas faire trop de bruit...


Douleur et Haine.

Petit enfant innocent que la bêtise des adultes rendra acariâtre. C'est avec courage que je me plonge dans mes souvenirs lointains en supportant la douleur qui m'accable. J'aimerais dire que c'est facile de haïr une personne cruelle et froide, mais c'était ma mère. Quand je trottinais près d'elle, je pouvais sentir son parfum et imaginer la douceur de ses long cheveux onduleux. Je rêvais de tendresse et d'amour, mais j'avais le droit qu'aux coups ceintures et aux injures. Ses yeux magnifiques ne dévoilaient que de la haine envers moi... De la haine et du dégoût. C'est dans un murmure à peine audible que je débitais « Maman », c'était un songe terrible où l'air glacial m'envahit comme un châle « Maman ». Pourtant, je réalisais très vite que la violence s’abattait sur mon petit corps frêle et malade « Maman, arrête »... Soudain, elle me tenait fermement et elle me plongea entièrement dans l'eau glacial du bain. Je me débattais avec force, mais elle était plus forte, elle me maintenait la tête sous l'eau en pensant que le mal s'enfuirait. Cette action, je la vivais tous les jours, parfois ça pouvait changer de mode. Après ça, elle m'envoyait croupir dans mon "Trou", c'est comme ça que je surnommais ma chambre, car elle était sombre et vide. Je me faufilais dans un coin très éloigné de la pièce en croyant que ça pouvait me protéger. Rien ne pouvait me protéger, mon père ? Je me mettais à croire en lui, à espérer qu'il vienne me chercher, mais il ne viendra pas. Maman m'avait dit que c'était un démon venu de l'enfer avec des habits de Biker. Je pensais qu'elle était folle.

Tasmine passa de l'extravagance à la croyance, elle se mettait à acheter des petits jésus et des croix de bois, puis elle m’emmena à l'église tous les matins. Je préférais quand elle était droguée... Elle était moins violente. Je subissais de jour en jour cette maltraitance verbale et physique sans rien dire, je n'allais jamais à l'école et personne ne se souciait de moi. Elle me jetait dans l'eau glacé du bain en croyant m'exorciser, elle me battait à coup de tige de bois et elle avait même gravé un truc sur ma peau. Ma mère était totalement cinglée, je me demandais si elle était pas un peu psychopathe sur les bords. Je ne croyais pas en Dieu, elle me criait « Tu n'y crois pas, parce que tu es le fils de Satan ». Mais quand on crois au diable, on doit forcément croire en Dieu ? Je voulais tout faire pour que ma mère m'aime vraiment, alors j'écoutais les conseils de mon voisin « Mets-toi à genoux, prie et implore. Fait semblant de croire et bientôt tu croiras ». Pendant des mois, je mettais mis à débiter tout les Ave Maria et les Pater Noster, dans l'église, dans ma chambre et c'était avec une foi salvatrice que je me mi en chemin vers la lumière. J'ai eu le droit aux sacristies et aux longues messes que ma mère chérissait. Au milieu de tout ses petits chanteurs à la croix de bois, je mettais mis à penser à la lapidation et aux supplices d'Abélard que me ferait subir les croyants s'ils me démasquaient. Je comprenais ensuite que la foi viendra d'elle-même ou elle ne viendra pas, car si l’éternel existe, enfin de compte, il voit que je me conduis guère plus mal que si javais la foi.

Rien ne pouvait me sauver de l'emprise de ma diablesse de mère et de sa violence. Elle me laissait mourir de faim dans mon trou, je réussissais à voler l'un de ses plats en inox avec la plus grande attention. Mon pouvoir de télékinésie sur les métaux venait de se faire sentir, très fier de moi, j'en profitais pour me nourrir en silence. Il m'arrivait d'être aussi silencieux qu'une petite souris, oui à 7ans je me faufilais dans le couloir sur la pointe de mes petits pieds et je l'observais en train de dormir sur le sofa. Je devais être discret et furtif, car la moindre erreur me coûtait une autre cicatrice. Les moments de terreur était le pire pour moi. Quand elle s'ennuyait, elle m’appelait de sa voix autoritaire et sévère. « éh le morveux, vient ici. » J'accourais, car premièrement je tremblais de peur à l'idée qu'elle commençait à s'impatienter et de deux si je venais vite, elle me taperait moins longtemps. Alors c'était avec mon allure de débauché que j'apparaissais devant elle, il lui fallait toujours un punching-ball pour la calmer. Je l'écoutais me dire des choses méchantes qui brisait mon cœur d'enfant. « Tu es mauvais, il y a rien de bon en toi, tu finira comme ton père, un monstre, un assassin ». C'était toujours le même registre, puis ensuite elle m'empoigna avec violence en me secouant. Il met arrive plus d'une fois d'avoir le bras cassé, on appelle ça des fracture en spirale très fréquent sur les enfants. Ma mère me tordait le bras dans le dos et Clac, mon bras se brisait... Je vous raconte pas la douleur. Pour une petite anecdote, un jour elle voulait me battre, alors elle me jeta sur mon lit et prépara la ceinture. Je tremblait de peur comme une petite feuille et mes émotions devenaient de plus en plus fortes... Le lit de fer se mit donc à planer. Et ma mère me regardait avec cet air horrifié, « Fils de Satan, tu es le mal... Le mal ». Je l'a voyais brandir sa croix devant moi, comme une idiote.

Tasmine finissait par ressembler plus à une nonne qu'à une mère, ses vêtements étaient trop stricte. À mes neuf ans, je pensais qu'elle allait m'abandonner dans un orphelinat, elle se lassait de m'avoir comme esclave et Punching-ball, mais je me trompais. Elle avait vraiment marre de moi, elle me tenait responsable de tous ses malheurs... Seulement, je ne devais jamais lui échapper. Elle dégota une corde et me descendit à la cave. La maison était grande, elle l'avait gagnée avec toute cette drogue qu'elle avait pu vendre, mais la cave était humide et sombre. Il fallait sortir à l'extérieur pour entrer dans le sous-sol, elle me guida et m'attacha aux tuyaux. Ses paroles étaient comme une mine personnelle qui ravagea tout mon être. « Mon garçon, Dieu ne t'a pas encore sauver, mais ça va venir. Tu dois jeûner pendant 3 jours et 3 nuits sans manger ni boire », puis ensuite elle s'en alla... Les jours passaient et elle ne revenait pas, j'allais mourir comme un chien... même les bêtes étaient mieux traités. Au bout de 4 jours, j'arrivais à boire l'eau qui s'échappait des tuyauteries, quand soudain, un homme pénétra dans la cave. Il était vêtu de noir et son visage m’effrayait. L'individu me libéra et je le questionnais sur son identité, il me dit, « La ferme et suis-moi ». Mon ventre rugissait comme un petit tigre, j'aurais pu manger un humain... Façon de parler. L'homme m'attira sans ménagement sur sa moto, une grosse cylindrée, une Harley-Davidson, sauf qu'elle semblait plus surnaturelle qu'une vrai.

J'avais jeté un regard vers la maison en observant la lumière qui s'échappait de l'une des fenêtres, ma mère était toujours là, alors que j'étais en train de crever dans sa cave. Quand la moto démarra, je m'étais accroché à son blouson de cuir, l'aura que dégageait cet homme m'attirait, m’enivrait... Il était mon père. La grosse cylindrée semblait être plus rapide que la lumière, elle dévala les routes avec une rapidité hors du commun. Nous arrivions vers une colline et il m'ordonna de descendre, je l'écoutais et rajoutais dans la foulé. « Tu es mon père ? », l'homme m'adressa un sourire mesquin et m’attrapa le visage de ses grosses paluches. « C'est ça, pour l'instant tu me sers à rien, mais bientôt tu me servira... Crois-moi. Que tu le veuilles ou non. ». Génial, mon père était tout aussi dérangé que ma mère, j'étais vraiment mal barré. Il me mit un objet dans la main et Arès me montra l'entrée du camp. Il m'expliqua que je serais en sécurité là-bas, puis il disparu... J'avais suivis son conseil, fatigué, faible et affamé, je réussis à grimper la colline et à entrer dans la colonie des sang-mêlé. La première chose que je débitais en m'écroulant au pied de Chiron c'était : Manger.


L’ascension.

Mon rêve fut assez étrange. Je me voyais entouré de nombreuses créatures, des hommes-chevaux, des hommes-chèvres et même des enfants armés. Tout se mélangeait dans ma tête, j'avais l’impression d'être dans un film de Tim Burton. À mon réveil, un garçon était penché sur moi avec un verre à la main, il essayait de me rassurer. « Salut mon petit, ne t'inquiète pas, tu es en sécurité ici ». La sécurité ? Ce mot m'était inconnu. Je croyais que mon existence n'avait aucun intérêt, que je devais continuer à vivre pour souffrir. Le garçon blond me donna à boire, cela me rendait plus énergique et je n'étais plus affamé, à vraie dire, j'avais l'impression d'avoir pris quelques kilos. Il s’appelait Jawen et il me disait être le fils d'Apollon... Je pensais qu'il était snob. Jawen m'aida à me lever car j'étais encore un peu faible. « ça fait presque trois jours que tu es ici, tu dois te rendre chez Mr D maintenant ». C'était incroyable, je devenais fou c'est pas possible... C'était avec des yeux ronds que je scrutais un satyre accompagnée d'un groupe d'enfants armés d'arc et de flèches. Jawen m'escorta jusqu'à la maison sur la colline et m'abandonna quand un centaure me prit en charge. Il disait se nommer Chiron... Quoi ? Le Chiron de la mythologie ? J'avais beau fixer son arrière-train poilu, mais rien à faire, c'était du vrai. Je buvais ses paroles avec beaucoup de curiosité.

Chiron m'attira devant une table où se trouvait un autre homme, mais celui-ci avait bien des jambes humaines, je découvris bien plus tard, que s'était Dionysos. Mr D posa ses yeux sur moi d'un air indifférent et dit, « Encore un morveux ? En espérant que ton parent divin ne traîne pas, pour te reconnaître ». Je le regardais sans comprendre, il insista avec un peu plus d'agressivité. « Ouai, ton parent divin, tu n'as pas compris que tu es un demi-dieu ? ». Il est drôle le Monsieur... Comme-ci un gosse de 9ans pouvait comprendre ça. Je répondis d'un air innocent. « Mais, j'ai déjà vu mes deux parents, mon papa m'a emmené ici ». Mr D soupira et continua. « Ah ouai ? Et le quel des deux semblait plus divin ? ». Vraiment comique comme situation tiens, je pinçai des lèvres tout en réfléchissant. « Mmm je dirais mon papa, il avait une grosse moto avec des flammes dessus... Et il avait des lunettes de soleil bizarre ». Mr D ne semblait pas content, mais vraiment pas. « Nom de Zeus, encore un fils d'Arès... Vire-moi ce gamin d'ici ». Après une telle réplique, j'affichais une mine farouche et un satyre me traîna par le bras en direction de la cantine. Étant donner, que mon gentil papa ne m'avait pas reconnu officiellement, j'avais passé ma première année avec les enfants d'Hermès.

Ce monde était différent de celui que j'avais toujours connu, mais c'était encore mieux. J'adorais me réunir à l'heure du repas avec les autres et donner ma part aux dieux, j'aimais lire le grec et apprendre à tenir une épée. J'ai même découvert que l'objet que m'avait donné mon père, un briquet d'une forme peu commune, était une grande épée magnifique faite d'ombre, de lave et de bronze céleste. Et je vous assure qu'il y a que moi qui peu la toucher, demandez à l'autre fils d'Hermès si vous me croyez pas... Bref, je continu mon récit. Un jour, je pliais tranquillement mon sac de couchage, quand une enfant de mon âge rentra dans le bungalow. Elle avait de jolie cheveux blonds et je l'observais dans mon coin. La petite fille était un peu comme moi, triste et perdu. Je m'approchai doucement d'elle et l'interrogeai. « Salut, tu t'appelle comment ? ». Surprise, elle me répondit sur le même ton « Alexa et toi ? » Comment je m'appelais ? C'était stupide, mais aussi loin que je m'en souvienne, ma mère m'a toujours appelé 'Le morveux'. Tasmine refusait de me nommer par le nom que m'avait donné mon père. « Je... Je m'appelle Jay ». Voilà notre toute première rencontre, c'était si mignon pour des enfants de notre age. Au fur et à mesure que le temps passait, nous étions encore plus proche. Je n'arrêtais pas de la questionner sur son parent divin, elle me disait que c'était son père, mais qu'elle ignorait son nom. Nous étions fait dans le même moule, elle et moi. Nos pensées et nos gestes s'unirent pendant nos combats, c'était impressionnant.

À 10ans, Chiron nous autorisa à participer à une Capture-l-étendard. Kyass, un fils d'Hermès m'enfonça un casque sur la tête en me conseillant de rester en vie... Très rassurant. Quand le jeu commença, j'attrapai Alexa par le bras en lui en lui criant « Il faut suivre les lignes, il y a moins de gardes ». Alors que la jeune fille me tira dans l'autre sens, « Non suis-moi ! ». Je ne comprenais pas ce qu'elle voulait dire, mais je me baissai pour éviter une flèche. « à couvert » criai-je avec ferveur, je n'avais pas envie de mourir si jeune. Je tenais la main d'Alexa quand nous remarquions une faille dans leur système de combat, nous contournions la première ligne et nous nous faufilions jusqu'au cœur du champ de bataille. Comme deux jumeaux guerriers, nous frappions, esquivions, achevions à l’union. Au moment où je j'envoyais un violent coup de coude dans la tronche d'un fils d'Héphaïstos, je remarquai leur étendard. Totalement excité par le combat et la victoire à venir, je criais à Alexa de me suivre. Le drapeau était gardé par deux soldats, je me cachai derrière un buisson en les observant et la blondinette près de moi suggéra en chuchotant. « Toi tu prend celui de gauche et moi celui de droite ». Je lui jetai un regard surpris. « Mais... Comment on fait ? », elle soupira et continua « Je sais pas moi, saute lui dessus».  Je me concentrai en plissant des yeux, Alexa me regarda comme-ci j'étais devenu fou et me décocha une claque derrière la tête. «Mais bouge » « Aieuhhh ». Soudain l'épée du premier se souleva comme par magie et l'assomma. « Viteee, à l'autre ! » criais-je. Alexa n'avait rien trouvé de mieux que de se servir de la flamme de la torche pour brûler le froc du second. Celui-ci courrait comme un damné dans la mauvaise direction, cependant, nous en profitions pour piquer l'étendard.

C'était en grand vainqueur que nous rentrions au campement et pour notre plus grand bonheur que nous avions été reconnu fils et fille d'Arès. Quand je repensais à ce grand Monsieur à la moto, j'avais du mal à croire que c'était Arès, le dieu de la guerre. Ma mère avait tord et raison... Je n'étais pas le fils de Satan, mais bien le fils d'un démon. Je m'étais installé dans le bungalow des Arès avec Alexa. Parfois, il m'arrivait de m'isoler dans un champ et c'était pendant une chaude après midi que je rencontrai Anton, un autre fils d'Arès. Il était plus grand que moi de 3 ans et il m'enseigna quelques tactiques au combat. Je me souviens très bien de nos têtes à têtes et de nos éclats de rires, après Alexa, il était la deuxième personne que j'aimais plus. Malheureusement, un jour Anton décida de me trahir en allant rejoindre les partisans... Je l'avais supplié de rester avec moi, mais il refusa et il fugua pendant une nuit d'hivers Je n'avais jamais ressentis une telle colère et une telle tristesse, je ne comprenais pas pourquoi Anton avait décidé de se retourner contre nous. Depuis ce jour-là, mon cœur s'endurcit et je devenais cruel et impitoyable.

Tout les jours, je m'entraînais durement pour devenir un très bon guerrier et même parfois avec Alexa. Une haine féroce grandissait en moi et je m'acharnais de plus en plus sur les autres pensionnaires de la colonie. Les années passèrent et j'avais l'impression de devenir encore plus dangereux, l'avis des autres ne m’intéressais plus. Cela devait plaire à mon père car, Arès me rendis visite pendant que je fuguais vers New-York. J'avais quinze ans et le dieu devait penser que je devais être utile pour ses sales besognes. Ne pensez pas que je me suis jeté dans ses bras avec des larmes coulant sur mes joues... Non, je l'observais face à moi, comme un soldat attendant les ordres. Cet homme m'avait sauvé la vie et je lui devais une éternelle reconnaissance. Au départ, j'étais un peu arrogant et sarcastique, mais cet homme impressionnant avait su me remettre sur le droit chemin en quelques mots. « Tu m'appartiens, alors obéis ! ». Il me promettait la meilleur place chez les Arès et moi, je devenais son plus grand serviteur, l'amour que je ressentais pour lui était indescriptible, je lui étais fidèle jusqu'à la mort. Mon père m'ordonna de rentrer au camp, de renverser le chef des Arès en le provoquant en duel pour prendre sa place... Ensuite, je devais attendre son prochain plan machiavélique. Bien-sûr j'obtempérais et Alexa devint mon bras droit.


L'Apogée

Les années passèrent et j'avais maintenant 17ans. Le camp était mon domaine, je errais parmi les demi-dieux comme un démon sortant de sa boite. Dans mon propre bungalow, personne osait me défier, car ils avaient trop peur d'avoir affaire aux jumeaux de la guerre. Je subissais de jour en jour, un entraînement aux arts martiaux... La maîtrise de l'épée et du Katana, le corps à corps, la maîtrise de différentes armes comme le poignard, le pugilat, le bâton. Ma sœur m'enseigna aussi quelques prises et à me servir de mon esprit quand il le fallait. Je peux vous dire que, pour un garçon aussi impulsif que moi, ce n'était pas de la tarte, mais je devais savoir me maîtriser. Au combat, nous étions aussi redoutable que 300 Spartiates et aussi agile qu'une vingtaine d'Amazones. Maintenant je voulais prouver de quoi j'étais capable, je pensais être assez fort pour combattre. J'avais l'impression d'être invincible et que rien ne pouvait s’opposer à moi. Je voulais gagner mon titre de prince de la guerre. J'avais tord bien sûr, je n'étais pas invincible, mais j'étais jeune et impulsif... Je ne réfléchissais pas à mes actes. Un soir, je quittais en silence le bungalow des Arès pour m'enfoncer dans la forêt. Fougueux et irréfléchi, je défiais mon père de venir à ma rencontre, je voulais un travail, il était temps que je prouve ma valeur.

Instantanément, l'air se réchauffa autour de moi, une onde de choc me projeta au sol sans ménagement. Apparemment Arès n'appréciait pas. J'entendais une voix dans la tête « Que veux-tu petit impudent ? ». Je sentais une douleur terrible qui engourdissait mes membres et en grimaçant de douleur, je répondis. « Ordonne et je t'obéirais ! ». Un rire machiavélique envahissait mon esprit, j'avais l'impression d'être possédé, contrôlé. Arès jouait avec mes émotions, je sentais de la colère, de la peur et de la tristesse, il m'accablait pour mieux me soumettre. « Très bien, j'ai un travail pour toi ». Soudain, je pouvais sentir un métal froid dans ma main, c'était une vieille dague dans une forme onduleuse. La voix de mon père résonnait encore dans ma tête, « Tue-la ». Je me demandais... Tuer qui ? Mon cœur battait à la chamade, me forçait-il à tuer une personne que j'aimais ? Pitié, pas ma sœur. Aussitôt, le décor changea. Je n'étais plus à la colonie des sang-mêlé et je tenais toujours la dague entre mes doigts. Je me retrouvais dans une ruelle assez familière, mon regard observait les détails dans l'obscurité. Il faisait nuit noir et les étoiles qui parsemaient le ciel étaient très visible. Une constellation attira mon attention, c'était la grande Ourse... J'avançais de quelque pas et je reconnaissais enfin le lieu. Cette maison face à moi était celle de mon enfance, ce lieu maudit.

Le souvenir de ses années de terreurs submergèrent comme une bouée. Je serrais les dents avec une rage féroce et je poussai la porte d'entrée. Le rez-de-chaussée était vide, mais j'entendais la télé à l'étage. Je montais les escaliers de bois avec une lenteur infinie, je me souvenais les avoir dévalé plus d'une fois pour échapper à ma mère, alors qu'elle tenait un bâton dans la main. Une frénésie meurtrière me poussait à commettre un tel crime, je ne voulais pas écouter ma conscience. Colère, haine, amour, devoir... Tout se mélangeait, mes émotions n'étaient plus distinctives... Je voulais du sang, son sang. Quand je poussais enfin la porte de sa chambre, ma mère était là, sur son lit à manger des Curly devant son émission préféré. Me rappelant la Grande Ourse, je pinçais les lèvres, cette constellation me rappelait Callisto, tuée par son propre fils. Je m'avançais en brandissant mon poignard. Tasmine hurla de terreur et elle alla se réfugier dans un coin de sa chambre. Non, elle ne pouvait pas m'échapper, je voulais lui arracher le cœur. « Qui es-tu ? » me disait-elle... Elle ne reconnaissait même pas son fils. Soudain je pris conscience de mon acte, je m’apprêtais à tuer ma propre mère. « Tue-là » criait mon père. Non, elle méritait de mourir, mais pas par ma main. Une vraie tragédie grecque tout ça... J'avais l'impression d'entendre aussi la voix de la raison qui ressemblait à celle d'Alexa « Maîtrise toi, mon frère », elle me répétait souvent ça, au camp.

Mon regard haineux se posa sur Tasmine, je voulais qu'elle comprenne toute la souffrance qu'elle avait pu me faire. « C'est moi, ton fils... Je suis toujours vivant et tu ne me briseras plus ». Ma mère  fixait la lame d'un air affolé, je l'avais laissé tomber sur le sol dans un bruit sourd. « Finalement, tu n'en vaux même pas la peine, je ne me salirais pas les mains pour toi. Autant que tu crèves seule, devant ta télé » avait-je répliqué avec dégoût. Soudain, je fus à nouveau projeté en arrière, mais pas dans la chambre. Le lieu était froid et sombre et des ossements recouvraient les murs. Totalement surpris, je ne pouvais voir cette botte immense s'abattre dans ma tronche... Il c'était matérialisé à côté de moi et m'avait frappé... Vous vous dites, qui ? Ben Arès, ce démon habillé de noir. Je me redressa avec la marque de sa semelle sur la joue, trop fun. Il semblait très menaçant, je me mis à voir des images de massacre, des tueries sanglantes, de la véritable boucherie... Oh oui, il était en colère. « Tu as désobéis, sale vaurien » hurlait-il. Je ne pouvais pas décrire ma tête, mais j'étais vraiment effrayé sur le coup. « Je... Je... Je ne peux pas tuer ma propre mère » bégayais-je. C'était avec le cœur vibrant d'angoisse que j'observais ses lunettes, fondre sur son visage. « Et pourquoi pas ? Elle t'a toujours traité comme un monstre ». Je baissais la tête d'un air fautif... Oui, je me sentais coupable d'être à moitié humain et de respecter certaines valeurs.

Mon père se radoucissait subitement. Quoi ? Il n'allait pas me tuer ? Au lieu de ça, Arès afficha un air satisfait, « Très bien, maintenant je suis certain que tu ne trahiras jamais tes parents. Tu as des principes qui me plaisent ». Je le regardais bouche-bée, il m'avait trompé, s'était un test et un piège. Au font de moi, j'étais furieux et en même temps, soulagé. Le décor changea et je me retrouvais sur mon lit dans le Bungalow des Arès. Le temps de reprendre mes esprits, je m’aperçus que tous mes frères et sœurs étaient à l'extérieur et il faisait jour. Dans le camp, une atmosphère d'inquiétude régnait, la guerre se rapprochait. Cronos avait envoyé ses frères pour détruire les Olympiens et dans l'heure actuelle, Typhon bataillait contre les dieux. Peu de temps avant, je m'isolais sur la falaise pour observer l'océan. Alexa m'avait rejoint, vêtu de son armure et elle s'installa près de moi en silence. Je le brisai avec un voix calme et sérieuse. « Je vais te raconter une histoire. Il y a très très longtemps, tout les êtres humains avaient deux têtes et quatre jambes. » Ma sœur éclata de rire et je continua. « Mais si, écoute jusqu'au bout ! Alors, les dieux leur ont envoyés la foudre qui les a tous coupés en deux. Chaque moitié a eu deux jambes et une tête, mais la séparation a laissé subsister en chacun, un désir désespéré de se voir réunifier, parce que les deux moitiés partageaient la même âme et c'est pour cette raison que les êtres humains passent toute leur vie à rechercher l'autre moitié de leur âme. » Après mon récit, je restais songeur.

Quand la guerre commença, j'étais sur le front avec mon magnifique casque d'Hoplite et mon bouclier légendaire, tel un guerrier détruisant tous sur son passage. Cette guerre était magnifique, glorieuse, grandiose. Dos à dos, les jumeaux de la guerre pourfendaient chaque créature sur leur passage, leurs gestes étaient précis et rapide. Avec gloire et honneur, dans la force et l'agilité, je transperçais le cœur de mes assaillants. Mon armure brillait au éclat, je me sentais fier et chez moi. Alors que mes sens se décuplèrent, je voyais arriver les partisans de Cronos à la rescousse des monstres. Soudain, je me laissai emporter par ma rage et mes pulsions quand le visage d'Anton apparut dans mon champ de vision... Ce traître était encore une vie. Abandonnant mon groupe, je courrais entre les cadavres et les poudres scintillantes en brandissant Blacksun. Mon père n'était pas là pour m'ordonner de le tuer d'une voix télépathe, mais je le ferais pour lui. Une fois face à face, un combat meurtrier débuta. Le grand frère constata que le petit garçon qu'il avait abandonné, s'était amélioré. Il me blessa à l'épaule, mais je le déséquilibrai et il tomba en arrière. Levant mon épée au dessus de ma tête, je lui transperçai le cœur sans aucune larme et sans aucun regret. Il était une sorte d'exemple pour les personnes qui me décevait. Laissant son corps pourrir avec les charognards, je retournais au combat au côté de ma sœur. Par la passion et le danger, alors que l'ennemi semblait encore plus nombreux, survinrent Les Jumeaux de la Guerre, deux prestigieux princes, issus du cœur des batailles...
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Mer 29 Aoû 2012 - 18:18
Bon courage pour ta mise à jour Very Happy
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Mer 29 Aoû 2012 - 22:30
Merci x)
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Dim 2 Sep 2012 - 19:50

• Félicitations pour ta validation ! •



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